1. Le plus beau jour de ma vie (1)


    Datte: 22/08/2017, Catégories: Hétéro

    ... idée ! Il shoote tout ce qu’il peut, nous compris. Ma robe déboutonnée presque jusqu’en haut des cuisses vole au vent par moments à l’occasion d’un souffle indiscret et découvre une partie de ma fesse, pour le plus grand plaisir des passants et de Jean-Mi qui ne manque pas d’immortaliser l’instant. Après ce que m’a fait vivre Manu à midi, je compte bien me rattraper en lui mettant le feu ! Je suis tellement heureuse que j’ai envie de lui faire l’amour, là, maintenant ; mais non, ce n’est pas possible. Maman propose une pose dans un glacier. Nous nous installons à une terrasse dans un coin calme et discret, notre séjour au camping nous faisant apprécier la tranquillité. La rue est plutôt calme ; il fait particulièrement chaud, et il n’y a pas grand-monde. Jean-Mi mitraille. Je demande de regarder les photos et je nous vois, Manu et moi : joue contre joue, bisous, gros plan sur nos pendentifs en forme de demi-cœur. Manu me fait une réflexion : — Perso, je pense que ce serait plus joli si on ne voyait pas ton soutif. — Ah oui ? « Il veut jouer, on dirait… » — Il n’a pas tort, reprend maman. Là, c’est de la provoc’ ; il ne faut pas trop me chauffer ! Personne sur la terrasse. En un éclair je dégrafe le soutif dérangeant, fais passer les bretelles par les manches de la robe, l’attrape par-dessous, et hop ! En trois secondes, le voilà arrivé dans mon sac. Je me rajuste, ouvre un peu plus le décolleté, tends l’appareil à Jean-Mi. — Tu peux en reprendre pour voir si monsieur à ...
    ... raison ! dis-je en pouffant de rire. Pris au jeu, Jean-Mi reprend des photos, les montre à Manu. — Alors ? — Eh bien sincèrement, c’est beaucoup mieux ainsi. — En fait, ce sont mes miches qui t’intéressent… Montre ! Je regarde ; c’est qu’il a raison, le bougre : le pendentif placé juste au début de mon sillon, mes seins légèrement découverts donnent une image digne d’une présentation d’un bijou de grand joaillier. Nous rions, plaisantons, parlons aussi du grand projet d’avenir tout en dégustant notre glace. De temps en temps je m’arrange pour que mes jambes soit découvertes très haut. Je surveille Manu du coin de l’œil : il n’arrête pas de me mater les jambes. Je l’attire à moi, pose ma main sur la bosse de son short, lui mordille l’oreille et lui chuchote : — Arrange-toi pour m’enlever mon string et caresse-moi. Son visage rosit. — Tu es folle ! Pas ici, pas maintenant. — Si, maintenant ! Débrouille-toi pour être le plus discret possible. Ma main posée sur son short et un doux baiser accompagné d’un regard coquin l’encouragent. Je m’installe pour lui faciliter la tâche. Au regard amusé et au clin d’œil de maman, je comprends qu’elle m’a démasquée. La main de Manu s’immisce sous ma robe qui se relève jusqu’à ma fesse ; un doigt touche le triangle de tissu, passe dans la ceinture, la fait glisser sous mes fesses. Je me soulève légèrement pour l’aider. Maman me fixe du regard ; je lui envoie un clin d’œil complice. Le serveur nous apporte les boissons ; mon cœur cogne dans ma ...
«12...567...»