Le plus beau jour de ma vie (1)
Datte: 22/08/2017,
Catégories:
Hétéro
... poitrine. Manu arrête net et retire sa main. Le serveur encaisse et repart. Manu mange sa glace d’une main tandis que l’autre reprend sa dure besogne. Le string roule le long de mes cuisses et se retrouve au sol ; je le récupère d’un pied, et hop, dans mon sac ! Une pause ; pas de réaction de quiconque. Manu continue son exploration. Vu la forme de son short, il est aussi excité que moi. Ses doigts me caressent ma fente ; je mouille, la sensation est terrible ! Cette caresse et la crainte de se faire surprendre m’excitent terriblement. Je prends la main de Manu et la repousse gentiment. Mon regard lui fait comprendre qu’il vaut mieux arrêter là pour le moment. Nous avons terminé notre glace ; je me rajuste, lui fais un bisou et lui murmure dans le creux de l’oreille en lui broyant littéralement son matériel : — Je suis à poil, dessous. Tu es content ? Ça t’excite, hein ! — Si tu continues comme ça, il va t’arriver des histoires… Il m’embrasse, ses mains sur mes fesses. Je sens ma robe remonter : j’ai le cul à l’air ! Il me pousse contre la haie derrière moi qui sert de pare-vue et me lâche. — Salaud, ça pique… Tu vas me le payer ! — Ma pauvre chérie, je te plains de tout mon cœur. Nous nous prenons par la main. Le serveur nous souhaite un très bon après-midi avec un large sourire : c’est sûr, il a vu quelque chose. Je le regarde pour le saluer ; il me renvoie un autre large sourire accompagné d’un clin d’œil qui en dit long. Nous continuons notre promenade. Nous nous tenons ...
... par la main, par la taille, par le cou, nous nous faisons des bisous – plein de bisous – des caresses dans le dos, sur les fesses. On n’a pas assez de mains pour se tenir, se caresser, de bouches pour s’embrasser. Nous nous lâchons ; je vais rejoindre maman et nous faisons du lèche-vitrines, de filles bien évidemment. Nous nous prenons par la main comme toujours, commentons les tenues, chaussures, sous-vêtements, sacs, accessoires : tout y passe, même les magasins pour les garçons. Les garçons sont tous les deux ; ils s’entendent bien, ont une certaine complicité. Je réalise tout à coup que le prof et entraîneur de jiu-jitsu de mon amoureux va peut-être devenir mon beau père, un père que je n’ai jamais eu. Je ne sais pas où il va nous entraîner ; c’est un meneur. Maman et moi comparons nos bagues. Un seul regard et nous nous comprenons ; nous nageons dans le bonheur ! Notre vie vient de prendre un tournant, elle va être différente : Jean-Mi va venir habiter à la maison, elle va être transformée. Manu et moi nous allons bosser : il faut que nous ayons ce bac. Nous allons rentrer dans deux jours. Il faut que j’aille parler avec Anne, la patronne du camping : elle m’a dit qu’il va leur falloir embaucher ; à deux, ils n’y arrivent plus, et puis ils voudraient avoir un bébé. J’aimerais bien travailler ici. Les magasins ont fermé. Jean-Mi s’est acheté un objectif pour son appareil photo ; c’est vrai que demain nous jouons les modèles. L’idée me plaît. Il a également acheté un kimono ...