1. Les récits de Caroline - Les routiers (1)


    Datte: 21/04/2019, Catégories: Trash,

    ... obèse, le sperme de son pote coulait de ma chatte, tout cela dans une cabine crade décorée de photos de meufs à poil. J’avais vraiment le chic pour me mettre dans des situations impossibles. Perdue pour perdue j’ai regardé le mec qui m’enculait dans les yeux et j’ai changé de méthode. — "Je vais te faire jouir comme jamais. Tous les soirs tu repensera à mes reins avant de t’endormir". J’ai inspiré plusieurs fois pour me calmer puis toujours empalée sur sa bite, je me suis mise à faire des petits cercles avec mon bassin et à contracter puis relâcher mon rectum. Il a ouvert de grands yeux et a grogné de plaisir. Voyant que cela marchait, j’ai pris mes seins à pleines mains et je les ai serrés sans quitter le routier des yeux. J’ai commencé à gémir à mon tour en simulant tout en continuant à onduler sur lui. Je voyais qu’il prenait un pied monumental; Il faut dire qu’on lui avait sans doute rarement fait les caresses que j’étais en train de lui prodiguer. J’ai ouvert la bouche en lui disant que sa bite était la meilleure qui ne m’ait jamais pénétrée. C’était sans doute "too much" mais il était dans un tel état que la vraisemblance n’était plus sa première préoccupation. Le voir autant apprécier m’a fait perdre les pédales: j’ai continué à me trémousser sur sa bite puis lorsque je l’ai senti à point, je me suis accrochée a la cabine comme au début de notre étreinte pour extraire sa verge presque entièrement, jusqu’à n’avoir plus que son gland à l’entrée de mon rectum. — "Empale ...
    ... moi à fonds comme tout à l’heure, Tu vas me faire jouir en me défonçant". Même pour moi c’était franchement grivois mais il fallait y mettre du cœur. J’ai gémi comme une chienne quand il a tiré sur mes hanches; mon amant n’a pas résisté et il a éjaculé lorsqu’une dernière fois mes fesses ont claqué contre ses cuisses. — "T’aimes vraiment ça, j’ai jamais sauté une fille comme toi." Cela m’a comblée d’orgueil d’être le meilleur coup qu’il ait connu. J’ai tourné le visage vers l’autre routier, il avait l’air stupéfait de ce qui venait de se produire juste à côté de lui. C’est à ce moment que j’ai levé les yeux et que j’ai vu un troisième type en train de me mater depuis la couchette au dessus des sièges. Il me regardait en souriant, sans doute avait-il assisté au spectacle depuis le début. Comment avais-je fait pour ne pas remarquer sa présence jusque là ? J’étais en mode "incontrôlable" et je lui ai lancé un regard de pute auquel il ne put s’empêcher de répondre: — "Et moi alors, je n’y ai pas droit ?" Il m’a attrapé par le bras en même temps que ses collègues me poussaient sous les fesses pour me faire grimper dans la couchette. Je me suis retrouvée allongée sur le ventre, les cuisses écartées comme une grenouille, une position qui ne semblait pas déplaire à mon nouveau camarade de jeu. -"Je veux bien mais je suis crevée. Il va falloir que tu te débrouilles". Cette promesse de passivité l’enchantait, il s’en est léché les lèvres avant de s’étaler sur mon dos de tout son poids. ...
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