1. Le Dauphin


    Datte: 21/04/2019, Catégories: fh, vengeance, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, portrait,

    ... encule, vous sodomise si vous préférez. Cette fois elle a compris. Elle sursaute et arrête de se briquer la moule. Avant qu’elle n’ait pu ouvrir la bouche, il lui donne une petite claque sur le postérieur en lui disant : — Je ne vous ai point dit d’abandonner votre office. Machinalement elle se remet à l’ouvrage, l’esprit en ébullition. Elle a déjà ouï parler de cette pratique, mais pour elle c’est d’abord une allusion du livre de Genèse, complétée par une conversation surprise qui en faisait état pour certains hommes entre eux. Il n’imaginait pas cela entre homme et femme puisqu’icelle dispose d’une voiead hoc. Après tout se dit-elle de ce côté-là il n’y point d’hymen à rompre. Sur cette pensée plutôt réconfortante, elle fait montre de plus d’application à son jeu de doigts. Louis la laisse œuvrer, jusqu’à ce qu’il voie qu’elle commence à priser. Il s’approche et entreprend de lui doigter la rondelle, après l’avoir enduite d’huile. Cela se déroule sans difficulté. Après qu’il a, par des remuements circulaires, un peu dilaté l’endroit, il ajuste sa queue et pousse. L’anneau se distend. Elizabeth a l’impression qu’un brandon la pourfend. Elle ne peut retenir un bêlement, tout en continuant de s’astiquer. Plus le Prince progresse, moins la belle est à la fête, mais elle ne cherche à se dérober. Quand il est entièrement emmanché et commence à la ramoner, elle lâche : — Ah ! Monseigneur me tue.— Vous moult frétillez pour une morte. Il continue de la limer jusqu’à décharger. Il ...
    ... se retire alors au grand soulagement de la donzelle qui a le cul en feu. Malgré cela elle n’a cessé de se briquer le minou avec application et continue, ceci l’ayant aidée à absorber le suppositoire, sans pousser de hauts cris. Louis la laisse faire un long moment, le temps de récupérer, avant d’ôter sa main et de la mener dans la chambre. Une fois au lit, il la câline avant de la baiser. Elle est soulagée qu’il ne revienne point en ses boyaux. L’incendie allumé par l’inauguration l’empêche d’y prendre pleinement du plaisir. Le lendemain après une nuit de repos, cela va mieux. Le Prince lui annonce : — Je me suis rendu compte que lorsque je vous ai enculée, vous avez eu quelques difficultés d’absorbions. Croyez que j’en suis marri. Ces propos lui mettent du baume au cœur, car elle a peu apprécié la visite. Son troufignon en est encore dolent. Elle pense que le Prince va renoncer à renouveler, hélas elle déchante lorsqu’il ajoute. — Rassurez-vous les prochaines fois ces petits tracas devraient progressivement disparaître. D’ouïr ces paroles l’atterre. Le « progressivement » ne la rassure nullement et présage même qu’elle ait à endurer de nouveaux désagréments. De plus elle n’est point persuadée que cela se passe mieux, même avec la pratique. Bien que faisant grise mine, elle n’en laisse rien paraître et ne fait du rébecca. Elle cherche de l’onguent pour se tartiner l’anus afin d’en apaiser l’irritabilité. Le lendemain, c’est Victoria qui est de service et le jour d’après Ann. ...
«12...161718...22»