1. Le Dauphin


    Datte: 21/04/2019, Catégories: fh, vengeance, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, portrait,

    ... chose dont il s’occupe est le sort des jeunes glaisanes de l’institution. Elles sont conduites dans un couvent où elles poursuivront leur éducation, dans des conditions un peu plus strictes que chez madame Lincoln, car là, point de servante. Mary Clairidence échappe à ce sort. La compassion dont elle a fait preuve vis-à-vis des canfrais, lui vaut d’être conduite dans un pays neutre pour être remise à l’ambassadeur de son pays. Le Dauphin, sachant que son histoire finirait de toute façon par être connue, lui remet personnellement avant son départ en présent une broche de diamant. L’étonnement de la jeune en découvrant en Louis l’héritier du trône de Canfre fut sans borne. Trois autres glaisanes furent séparées des autres : Victoria Levington, Elizabeth de Galacester, et Ann Gateway. Les trois pimbêches qui s’étaient ingéniées à empoisonner la vie de Catherine, Louise, Marie-Thérèse, Antoinette-Marie et lui. Ces trois-là sont conduites dans son château de Champ à deux lieues de Ressaville. D’être séparées de leurs condisciples n’émeut guère les trois jeunes femmes. Elles sont à peine surprises de se retrouver dans un château. Elles estiment que leur rang mérite ce traitement. D’ailleurs dès leur arrivée, après un copieux souper, elles sont conduites dans une salle où trois baignoires fumantes les attendent. Une domestique empressée leur dit : — Nous avons pensé qu’après les émotions et les fatigues du voyage, un bain vous serait le bienvenu.— Enfin, un peu de savoir-vivre ...
    ... dans ce pays de sauvage qui traite si mal des demoiselles de qualité, lâche Elizabeth. Une bonne aide chacune d’entre elles à se dévêtir. Toutes trois se plongent avec délices dans l’eau parfumée. Elles barbotent un long moment avant de réclamer des serviettes. Une domestique apparaît en tend une à chacune d’entre elles et s’éclipse en leur disant que des vêtements propres les attendent dans la pièce voisine et qu’elles ne tardent point, car le majordome leur rendra visite incessamment. Une telle désinvolture fait pincer les lèvres d’Elizabeth de dédain. Elles se sèchent et vont quérir leurs habits. Elles froncent des sourcils en les voyants. Tout y est simple, les toiles utilisées, les coupes, les couleurs. La jupe et le caraco sont bruns et le corsage blanc. Elizabeth s’emporte : — Il est hors de question que nous mettions ces choses. Tout cela est d’un commun. Alors qu’elles sont en pleine discussion, une servante entrebâille la porte et leur lance : — Habillez-vous vite, le majordome sera là dans quelques instants. Avant qu’elles n’aient le temps de répliquer, la porte est déjà refermée. L‘avertissement a son effet, ces demoiselles s’habillent avec célérité. À peine ont-elles fini qu’il est toqué à la porte. Elles restent muettes. Trois secondes passent et l’huis s’ouvre sur un homme entre deux âges : — Mesdemoiselles, le bonjour… Il ne peut poursuivre, interrompu par les récriminations d’icelles. Impassible, il les laisse protester quelques instants avant de lancer un : « ...
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