Le Dauphin
Datte: 21/04/2019,
Catégories:
fh,
vengeance,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
portrait,
... particulièrement chaud, cela lui donne l’idée de ne point serrer les cordons de son corsage complètement. Ainsi lorsqu’elle se penche peut-on avoir une vue dégagée sur sa poitrine. Elle s’arrange à plusieurs reprises pour que le Dauphin profite du panorama. Icelui pense que cela n’est que hasard. Il veut avertir, de manière allusive, Elizabeth du spectacle qu’elle offre : — Il fait chaud, n’est-ce pas, mais alléger sa tenue peut avoir des effets non prévus.— Il est vrai, Monseigneur, j’étouffe et devrais régler ma tenue. Le Dauphin pensant que son message a été compris réplique : — Cela est préférable. Faites.— Je remercie, Monseigneur, de sa permission. Devant le Dauphin médusé, la glaisane délasse complètement son corsage, le retire, le dépose sur un pliant et vient devant lui seins à l’air. — Cela va un peu mieux. Il n’en croit pas ses yeux ni ses oreilles. De voir Elizabeth se comporter ainsi le laisse pantois. La jeune femme est complètement inconsciente. Elle ne se rend pas compte de ce qu’elle fait. — Allez vous rafraîchir et revenez en rectifiant votre tenue. Elizabeth est ulcérée de cette fin de non-recevoir. Elle se retire les larmes lui venant presque aux yeux. Dans l’antichambre alors qu’elle va pour remettre son corsage, elle pense que le Dauphin surpris de son attitude, est incrédule quant à ses intentions. Elle va donc lever toute ambiguïté et advienne que pourra. Au lieu de remettre son corsage, elle retire ses autres vêtements, prend un plateau de fruits et ...
... retourne dans le bureau pour se planter devant lui en demandant : — Monseigneur veut-il quelques fruits pour se rafraîchir. S’il désire autre chose, il sait qu’il peut obtenir tout ce qu’il désire. Elle appuie sur la dernière partie de la phrase. Pour Louis il n’y a à présent plus de place pour le doute. L’altière jeune fille est en train de lui offrir sa précieuse personne sans équivoque possible. Cela le surprend. Il va d’abord essayer de la détourner de son idée, mais si elle persiste pourquoi n’en profiterait-il pas. La caille est appétissante. Il choisit donc dans un premier temps de se montrer un peu brusque. Il lui demande de lui apporter des cerises. Comme elle s’approche, il lui met la main entre les cuisses, enfonçant un doigt dans la chatte. Elle sursaute, mais au bout de quelques secondes elle écarte les jambes. Elle est surprise quand Louis lui a mis la main aux fesses. Elle a un court moment de panique et faillit s’enfuir. Elle ne le fait pas, se raisonnant qu’après tout elle en est arrivée à ce qu’elle voulait. Elle offre même un meilleur accès à son intimité, malgré le peu d’agrément qu’elle y trouve. Comme si de rien n’était, il mange tranquillement les cerises d’une main tandis que l’autre s’active. L’endroit visité s’humidifie peu à peu, rendant la chose moins déplaisante à Elizabeth qui appuie son front sur la table. La main de Louis se fait délicate, elle fait sortir de son abri le bouton pour le titiller doucement. Les choses deviennent alors beaucoup ...