1. Marc un viel ami .


    Datte: 21/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... a poursuivi son cours et évidemment je voyais d’un mauvais œil mon retour persuadée que Marc allait se proposer pour me ramener à la maison. Seules présences jouant en ma faveur, sa femme et son fils qui pour le coup pourraient me sauver la mise. Hélas, un manipulateur reste un manipulateur et ce, en toutes circonstances ! Lorsque j’ai émis l’envie de rentrer, Marc s’est de suite proposé pour me raccompagner ! Quant à la présence de sa famille, il balayait cela d’un revers de main disant à son épouse de prendre son temps, qu'il me déposait et revenait de suite. La pauvre n’a pas eu de droit de réponse puisqu’il a saisi sa veste et m'a rejointe à l’entrée du chapiteau. Une terrible angoisse m’est montée à la gorge, je ne pouvais que saluer les gens de la main un joli sourire aux lèvres. Partagée entre l’envie de lui céder et celle d’être intransigeante dans mon refus, je savais pour connaître l’énergumène, qu'il tenterait quelque chose ! Marc avait été blessé lors de notre rupture, en témoignaient les nombreuses relances durant les mois qui avaient suivi. A peine avions nous démarré que mes doutes devenaient réalités ! À peine avait-il passé la troisième vitesse que sa main s'égarait sur ma jambe, que dis-je « s’égarait », elle plongeait entre mes jambes ! Je les serrais du plus fort que je le pouvais, tentant même de retirer la main intrusive mais rien n’y fit ! Il grognait que je lui avais tellement manqué, que j’étais encore plus bandante que par le passé, il me suppliait ...
    ... de me laisser faire. J'avais beau lui répondre qu'il ne fallait pas, il était comme fou et sa main, malgré mes retenues, gagnait du terrain. Après quelques minutes d’échanges pour le moins virulents, j’ai cessé de repousser sa main et ai même laissé faire. J’oserais dire que limite, il me faisait peur. Inutile de me ruiner les doigts sur ses énormes paluches. Et puis de vous à moi, il connaissait mon entre cuisses ! À peine la pression lâchée sur cette main qu'il prenait davantage confiance et en quelques secondes il glissait un doigt dans l’échancrure de mon string et me massait la vulve ! J’avoue, je suis une faible femme ! J'ai fermé les yeux et écarté les cuisses le laissant agir à sa guise. Ses propos ne faisaient que m’enflammer. Mes jolis dessous de salope que j’avais mis pour lui selon lui ! Mon petit air de sainte nitouche qui l’excitait à mourir. J’en passe et des meilleures ! J’avais inconsciemment ouvert les cuisses et ma main posée sur la sienne je le laissais me fouiller le minou, levant même les fesses pour lui permettre de me doigter. Tant bien que mal et en roulant au pas, il s’est dégrafé le pantalon extirpant sa queue toute droite et terriblement tendue me disant de regarder dans quel état je le mettais. Je perdais pied regardant cette bite gonflée qui m’avait donné tant de plaisir par le passé ! Lorsqu’il s’est penché vers moi, je me demandais ce qu’il voulait attraper. Il m’a alors saisit la nuque violemment et m’a attirée vers lui et plus précisément sur ...