1. Marc un viel ami .


    Datte: 21/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... sa queue en me disant, en m’ordonnant (!) de le sucer ! Quelque peu choquée par cette violence mais atrocement excitée, je n’avais d’autre choix que de m’exécuter. Je me mettais à laper cette queue tendue avant qu'il ne me l’enfourne dans la bouche avec autorité en me serrant la nuque. Une fois de plus et malgré moi. Tout cela, au fond, m’excitait à mourir ! Je me mettais à lui sucer la queue avec gourmandise, pire, j’y prenais plaisir et levais les fesses de mon siège pour lui permettre de glisser la main dans le bas de mes reins. Je lui suçais la queue tandis que ses doigts me parcouraient la raie. Durant quelques instants, je ne me souciais plus de la route mais lui pompais le dard tendu qui m'emplissait la bouche. C’est lorsque la voiture a stoppé que je me suis redressée. Marc avait emprunté un petit chemin de traverse. Le temps de chercher et reconnaître l’endroit qui en fait était à quelques centaines de mètres de la maison, Marc était sorti de la voiture et ouvrait ma porte m'invitant à descendre. Aucune fioriture, je retrouvais bien là mon pervers de quelques années en arrière ! Je me suis vite retrouvée les fesses sur le capot et les jambes en l’air ! Il répétait sans cesse que je le faisais bander et guidant sa queue entre mes lèvres il m'a possédé d’un grand coup de rein se ruant en moi comme un sauvage ! Je n’ai pu contenir mes cris sous cette puissance qui, dans les premiers instants, me déchirait le ventre ! Maintenue les jambes en l’air, écartées, j’ai ...
    ... saisi le rebord du capot sous le pare-brise et me suis laissée empaler de la plus belle des manières. Marc s’est littéralement déchaîné sur moi, extirpant mes seins de mon décolleté et me maintenant les jambes par les chevilles bien écartées. Ses coups de queue me faisaient monter et descendre sur la tôle chaude et mes gémissements, mes cris (!), ne le freinaient en rien ! Je dirais même que cela le rendait encore plus sauvage, il grognait que j’étais une belle salope, que mon cul lui avait bien manqué et qu'il allait me remplir comme au bon vieux temps ! Doucement le déchirement du début laissait place au plaisir et bientôt je lâchais le capot pour me laisser coulisser sur sa queue au rythme de ses coups de reins. Pire, puisque du bout des doigts je m’écartais les fesses pour mieux apprécier ses ruées en moi. Je peux dire en avoir pris ! Jamais Marc ne s’est soucié de mon bien-être ! Écartelée, il m'a possédée, il m'a fourrée, il m'a baisée avec rage ! Son bas ventre claquait sur mes fesses, me faisant remonter sur le capot, rugissant de plaisir, en quelques minutes notre plaisir a explosé ! Marc s’est crispé, ses coups de reins ont ralenti voire même quasiment cessé. Il sortait la queue de mon antre puis y retournait au plus profond en un coup surpuissant ! Des spasmes me faisaient bondir. Yeux clos je me délectais de cette jouissance lente et puissante, je priais le ciel qu'il poursuive ainsi. Le « oh oui ! Ma chérie je viens en toi ! » m’a comblée de bonheur, nos deux corps ...