1. Les petits petons virtuose


    Datte: 22/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    C’était un agréable après-midi de printemps, au mois où les jardins s’éveillent de fleurs parfumées. Mais ce bouillonnement de vie est bien moins puissant que l’épanouissement des grâces féminines en cette saison romantique où les désirs aussi reverdissent en force. Je m’étais assis sur un banc pour écouter le chant des oiseaux appelant leurs oiselles, et aussi regarder passer les belles aux jupes raccourcies par le soleil pour une fois généreux.Justement, une jeune femme en venue s’assoir près de moi, grande, brune, élégante et maquillée avec soin. Elle m’a souri, et je lui ai rendu aussitôt son sourire, dans sa version la plus romantique. Elle m’a demandé l’heure, et je dois avouer avoir honteusement menti en retranchant un quart d’heure, histoire qu’elle ne se lève pas précipitamment pour att****r son train juste à temps, car la gare se trouvait juste en face et elle était munie d’une grande valise dont le gros cadenas doré attirait le regard. Juste sous mes yeux ravis, elle a ôté ses chaussures et posé ses ravissants petits pieds par-dessus son bagage, histoire de reposer ses jambes des lourdeurs du voyage. Voici pour l’entrée en matière. S’en suit un aimable bavardage centré autour de la météo, dont la transcription serait d’un faible intérêt pour les amateurs éclairés d’érotisme que nous sommes.Sans plus attendre afin de ne pas risquer de la perdre bêtement, j’ai déposé délicatement, mais résolument, ma main sur sa cuisse, dans le but de lui signifier clairement que ...
    ... son corps m’intéressait au plus haut point et que ce qui se trouvait sous le tissu de sa longue robe noire était pour moi le Graal du moment, sans lequel ma journée aurait été un jour perdu.Elle a posé se jolis petits doigts sur le dos de ma main, non pour la retirer, mais pour me sourire. Puis elle m’a demandé :— Vous voulez bien me masser les pieds ? J’ai tellement marché aujourd’hui qu’ils en sont douloureux !— Bien-sûr !Cependant, sous sa robe, elle portait des bas, sombres également et dont le maillage moirait magnifiquement sous le soleil. Quoiqu’elle ne me semblât pas spécialement pudique, je me voyais mal lui retirer ce vêtement devant la foule. Je lui ai donc massé les petons à travers le nylon, et ses pieds, qui transpiraient beaucoup, sentaient merveilleusement la femme dans toute sa splendeur charnelle, avec des fragrances épicées qui s’évaporaient, montaient vers mes narines et m’emplissaient de joie, de sorte que mon sexe commençait à se sentir sérieusement à l’étroit dans mon pantalon. Bien-sûr, elle se rendait compte de mon trouble, et le me laissait agir à mon aise, calme, silencieuse et souriante. Puis elle m’a proposé :— Si vous voulez, je peux vous branler avec mes pieds. Je sais faire cela très bien, vous savez.— Ici ? Sous les yeux des gens ?— Oui, ne vous inquiétez pas : le gardien est absent aujourd’hui, c’est son jour de congés. Vous avez peur que les gens voient votre bel organe tout excité et tout dur ?— Pas du tout. Mais je suppose que vous voulez de ...
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