1. Les petits petons virtuose


    Datte: 22/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pieds n’empêchait pas Coralie de se masturber en même temps, à travers son pantalon, avec le vibromasseur qu’elle venait d’acheter. Son beau visage se transformait à mesure que la volupté montait en elle. Elle s’en mordait la lèvre inférieure. Je l’ai vue se cambrer en jouissant, la bouche grande ouverte, et c’était là un spectacle si plaisant que j’ai éjaculé en croyant crever tellement le plaisir était puissant.Dounia se caressait également, mais à l’aide de ses seules mains. Elle avait relevé sa jupe plissée et repoussé sa culotte blanche jusqu’à ses genoux, me montrant son beau sexe couleur de nuit, glabre, humide d’une rosée qui suintait jusqu’à former une petite flaque sur le banc. Je me suis mis à genoux pour lui offrir un cunnilinctus. En jouissant, elle a rugi de joie comme une lionne. Pendant ce temps, Coralie et Aï tripotaient mon trou du cul et cela les amusait beaucoup. Ma petite sœur y a même fait entrer son gros orteil droit, puis le gauche.— Et maintenant, m’a demandé Coralie, tu vas faire comment pour rentrer, tout nu ? Tu vas prendre le tram ?— Ne vous inquiétez pas, a dit la policière qui est arrivée sans bruit, de sorte que, tout à notre partouze en plein air, nous ne l’avions pas remarquée. Nous allons l’embarquer en garde à vue pour exhibitionnisme. Sa tenue, des plus minimales, facilitera la fouille d’une certaine cavité intime… Allez, mon gars, on t’embarque ! N’essaie pas de résister !Les deux femmes flics m’ont empoigné avec une fermeté qui ne ...
    ... correspondait pas vraiment à mon idéal de douceur féminine, et la première m’a menotté dans le dos. Les boules de Geisha vibraient toujours, ce qui expliquait que j’avais la verge solidement levée malgré mes deux éjaculations. Une fois dans le fourgon, l’une a revêtu un gode-ceinture et, sans ménagement ni dire un seul mot, m’a sodomisé bien profondément. C’était après avoir retiré les boules vibrantes qu’elle avait repérées au bruit. Confisquées.Réciproquement, l’autre a baissé son pantalon règlementaire et m’a invité à la pénétrer par le trou anal. La raison principale de ce choix était que l’autre accès était empêché par les menstruations. C’était là une sollicitation des forces de l’ordre qui ne se refuse pas, d’autant que les deux gardiennent de la paix ne manquaient ni d’armes, ni de charmes : c’était un bonheur que d’enculer une hirondelle tout en étant soi-même transpercé du derrière par une autre cogne du genre féminin, même – et surtout – les poignets attachés au niveau des reins, afin de prévenir toute rébellion. Elles se sont même fendues de m’offrir, pour l’occasion, une capote, grand format s’-il-vous-plaît, qu’elles ont déroulée elles-mêmes. La policière qui conduisait le fourgon regardait la scène dans son rétroviseur ; heureusement, nous n’avons pas eu d’accident.Après ce petit préliminaire à ma garde à vue, c’est dans le plus simple appareil que j’ai traversé le parking, puis le hall du commissariat accompagné de mes deux fières policières, ravies d’avoir à ...
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