Essayage dans une cabine
Datte: 22/08/2017,
Catégories:
fh,
couple,
magasin,
essayage,
miroir,
BDSM / Fétichisme
chaussures,
facial,
Oral
pénétratio,
fdanus,
totalsexe,
... goûte ta mouille salope ; dis-moi si tu aimes. Je n’aurais jamais accepté ça en temps normal, mais le lieu et mon degré d’excitation me font ouvrir la bouche pour avaler ses doigts. Je les suce goulûment en exagérant comme si je suçais sa grosse queue suintante. — Ça va, c’est acceptable. Doigte-moi encore, fais moi jouir, j’en peux plus… Il fourre à nouveau deux ou trois doigts dans ma chatte en accélérant ses mouvements sur mon clitoris noyé de mouille. Je retiens mes cris de plaisir, et mon orgasme se réduit à des tremblements neveux qui me secouent toute entière. — Vas-y, ma chérie ; jouis en silence. C’est bien. Tu aimes ça, hein, te faire doigter comme une belle salope ? Mes râles sont étouffés par sa main qu’il plaque sur ma bouche ; heureusement, sinon j’aurais explosé. Mon orgasme terminé, il attrape mon tanga par les deux côtés, et dans un craquement assourdissant l’arrache complètement. Je me redresse pour protester : — Tu déconnes, ou quoi ? Ça va pas bien de le foutre en l’air comme ça ? On l’a même pas acheté !— C’est toi que je vais foutre en l’air, ma salope ! Je passe rapidement à autre chose car son gland se rapproche maintenant de ma chatte sans aucune barrière désormais. Je m’entends le supplier de me baiser : — Prends-moi comme une salope maintenant…— C’est prévu, petite catin ! Il pose ses mains sur mes hanches. — Montre-moi tes orifices maintenant, que je choisisse. J’écarte les jambes aussi largement que mes escarpins me le permettent. Il frotte son ...
... gland à l’entrée de mon anus ; je serre les fesses pour signifier mon refus. Il descend plus bas vers mon second trou, le plus humide. Je sens son bout tout rond aux portes de mon corps. — Compte jusqu’a trois, petite putain.— 1… 2… Pas le temps de finir : sa verge s’engouffre en moi en une fraction de seconde. Je me cabre de surprise plus que de douleur. Je suis tellement trempée que sa verge rentre d’un seul tenant, et je sens immédiatement ses couilles claquer sur mes fesses. Me voilà empalée jusqu’à la garde sur son chibre énorme. Il pousse un soupir de contentement. Il me reprend les seins et m’arrache le soutien-gorge sans le dégrafer, libérant mes mamelons tendus qu’il asticote frénétiquement. — Ta chatte est un havre de bonheur pour une bite en feu… Allez, bouge un peu ta croupe, viens t’enfiler sur ma queue. J’entreprends un va-et-vient lent et savoureux pour bien sentir chaque centimètre de chair qui se retire de mon vagin humide. Lorsque je le sens quasiment libéré, le gland à fleur de vulve, je me projette en arrière pour ravaler cette queue qui me donne tant de plaisir. Il admire le spectacle dans la glace, me regardant me démener pour le branler avec ma chatte. Il me tient les cheveux, et mon corps n’est plus qu’un outil de masturbation au service de ses vingt centimètres de chair tendue à l’extrême. Mes seins se balancent en rythme, ce qui semble l’exciter encore plus. — Regarde-moi quand je te baise, salope ! Je relève la tête. — Fais ce que tu veux de moi, ...