Essayage dans une cabine
Datte: 22/08/2017,
Catégories:
fh,
couple,
magasin,
essayage,
miroir,
BDSM / Fétichisme
chaussures,
facial,
Oral
pénétratio,
fdanus,
totalsexe,
... chéri. Il m’attrape alors la cheville et me retire un de mes talons. — Je vais te le mettre dans le cul, celui là ; ça fait cinq minutes que je vois ton anus me narguer… Je laisse faire, ne pensant pas qu’il compte réellement m’enfoncer dix centimètres de talon dans les fesses, quand tout à coup je sens comme une petite caresse au bord de mon anus. Je frémis de surprise, mais la sensation est plutôt agréable. Je le vois humidifier le talon avec sa salive et diriger celui-ci vers mon trou. Tout en continuant à me limer sur sa verge, je sens mon talon pénétrer doucement mon cul. — Tu vois que tu aimes ça… Je suis rouge de honte. Oui, j’aime ça, et je l’encourage : — Vas-y, oui… Rentre encore un peu, c’est bon ! Passé cet intermède de double pénétration, il me remet mon talon et se retire lentement de mon corps. Je me redresse, sentant la fin approcher. Je lui fais face, le dépassant même avec mes chaussures. Comprenant ce qu’il veut pour finir, je m’agenouille à ses pieds et ouvre ma bouche pour lui gober son dard. Ne se faisant pas prier, monsieur m’attrape les cheveux et me plaque le visage sur son ventre. J’engloutis le monstre en une bouchée gourmande. Je commence alors à le branler et à le lécher sur toute sa longueur, de bas en haut, en terminant par de petits coups de langue coquins sur le gland bien rose. — Sans les mains, petite salope ! Je ne veux sentir que ta bouche, tes lèvres et ta langue. Il attrape mon soutien-gorge et me lie les mains dans le dos. Je lui gobe ...
... les couilles avidement, ce qui suscite de longs râles suppliants. Je profite d’avoir la bouche vide un moment pour lui dire : — Si tu veux, tu peux me jouir dessus. Il semble ne pas en revenir. Je sais que c’est son fantasme absolu en dehors de me baiser en modeLise Charmel dans une cabine… Sa verge reprend le chemin de ma bouche béante qui l’absorbe par petite bouchées. Je sens que le désir de jouir arrive car son gland est couvert de petites montées de sperme qui le rendent luisant comme mon clitoris. — Je vais te salir. Alors, si tu m’y autorises, je vais te maculer de sperme : tu va te prendre la plus grande douche de foutre chaud de ta vie ! Il va vraiment le faire ! Je suis un peu inquiète… Je le suce de plus belle, de plus en plus fort. — Regarde-moi quand tu me suces, chérie. Je tends la tête vers lui ; je dois avoir l’air d’une grosse salope avec les yeux écarquillés et ce tube monstrueux qui me déforme la bouche. Soudain il se retire brusquement. Son gland est à cinq centimètres de mon nez. Je ferme les yeux. Il rugit sourdement comme s’il se contenait. En fait, il se branle sur ma bouche et me donne de petites tapes avec son gland. La première salve me gicle sur la joue et ruisselle instantanément vers mon cou. C’est chaud, épais, lourd… La seconde me frappe le sourcil et le front, et déjà coule sur mon nez. La troisième atteint ma bouche entrouverte ; par réflexe, je me lèche les lèvres et avale une première gorgée. Il jouit, les dents serrées ; il n’a pas fini : ...