1. Une petite toile sans prétention


    Datte: 22/04/2019, Catégories: fh, couple, cinéma, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral

    C’était en janvier, le froid nous cantonnait à la maison depuis trop longtemps et nous avions envie d’une petite sortie. Ce soir-là avec Laurence, nous décidons de nous rendre au cinéma. Comme toujours et sans être particulièrement original, le phantasme de la salle obscure nous attirait. Sans trop tirer de plans sur la comète, nous étions d’humeur coquine, mais surtout prêts à nous laisser bercer par le climat et les évènements. Ne souhaitant pas particulièrement fréquenter une ciné X et ces ambiances un peu glauques, nous optons tout naturellement par une salle classique. Notre choix de film se porta sur une comédie française à l’affiche depuis quelques semaines. Une fois les places payées, nous entrons dans la salle, le film était sur le point de commencer. Nous trouvons refuge dans les rangs du fond, les lumières s’éteignent rapidement. Par chance, il y a peu de monde pour cette séance et personne à notre proximité. Laurence se blottit très vite contre moi, passe un bras par dessus mon épaule et me susurre un "Je t’aime" des plus tendres… Les images défilent, nous en sommes aux bandes-annonces, des films américains à gros budget, lancés à grand renfort d’effets sonores et d’images chocs. Bientôt, les publicités remplissent l’écran. Je me sens bien, Laurence respire doucement tout contre moi. La lumière revient quelques minutes pour l’entracte. Nous pouvons découvrir les autres spectateurs. Ils sont au nombre de cinq, trois vieilles dames et un couple d’une quarantaine ...
    ... d’années. Nous échangeons quelques bisous avant de replonger dans la pénombre. Le film démarre, lentement, sans vraiment me passionner. À sentir Laurence se tortiller sur son siège, je devine qu’elle n’est pas non plus emballée par le scénario, mais sommes-nous vraiment venu pour nous farcir une toile ?. Dès ce moment, je pense que notre esprit s’abandonne à l’imagination et ne se concentre plus sur l’écran blanc. Nos baisers se font plus longs, nos caresses plus appuyées et l’excitation grandit. Je sens que Laurence a envie de pousser un peu plus notre petit jeu. N’y tenant plus, je me tourne et lui mordille doucement le lobe de l’oreille. Elle ne résiste pas à cette sollicitation et fait glisser ses mains vers mon ventre. Sous ses caresses expertes, je me déhanche et écarte un peu plus les jambes. Laurence n’attendait que ce geste là pour s’aventurer plus avant. Elle atteint enfin mon entrejambe et caresse mon sexe à travers mon pantalon. Je laisse échapper un faible gémissement qui la paralyse un instant. Elle me susurre que nous ne sommes pas seuls. Apparemment, elle est l’unique personne dans la salle à avoir entendu mon petit cri. Rassurée par les évènements, elle s’enhardit. A mon grand soulagement, Laurence défait les boutons de mon pantalon car celui-ci devenait un véritable carcan pour mon pénis. Elle est très fière de prendre enfin mon sexe dans la main. Ma queue est dressée vers le ciel, attendant ses mains, sa bouche, sa langue. Laurence m’astique par une lente ...
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