Une petite toile sans prétention
Datte: 22/04/2019,
Catégories:
fh,
couple,
cinéma,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
... masturbation. N’y tenant plus, je reprend ses lèvres et la gratifie d’un baiser langoureux. Nos langues s’entremêlent, je lui aspire délicatement les lèvres. Tout en continuant sa masturbation vigoureuse, Laurence ondule du derrière, je sens qu’elle est prête à recevoir mes caresses. Je déboutonne son chemisier et libère un sein de l’ écrin de dentelle de son fin soutien-gorge. J’engloutis rapidement le téton et le couvre de baisers. Caresses et mordillements se succèdent sur sa poitrine. Elle a du mal à se contenir et se mord les lèvres, de peur d’ameuter toute la salle. Sous mes coups de lèches, elle a du abandonner mon sexe, ce que je regrette. Dès lors je calme un peu le jeu et je me lance dans l’exploration de ses dessous. Malgré les rigueurs de l’hiver, Laurence porte une jupe, plus longue que lors des beaux jours, mais plus facile d’accès qu’un pantalon. Avec son aide précieuse, le tissu est vite remonté jusqu’aux hanches et les fouilles peuvent commencer. Sa culotte est déjà trempée et son abricot dégouline de son doux nectar. Mes doigts le taquinent sans en violer l’entrée. Laurence est folle de ces agaceries, elle gigote tant et plus. Ne souhaitant pas la pousser au supplice, je m’attaque délicatement à son bouton d’amour. Celui-ci, niché entre ses lèvres, présente une belle dureté. Mon effleurement ne fait que raviver son excitation. Je descends rapidement vers l’entrée de sa grotte, y introduit un puis deux et trois doigts, fouillant ce sexe et l’humidifiant ...
... tant et plus. Elle est à point, je me lève discrètement, m’accroupit devant elle. Dans cet espace réduit entre les rangées, la mobilité n’est pas des plus évidente. Néanmoins, la situation est cocasse et particulièrement excitante. Dans l’obscurité, je ne peux qu’imaginer sa culotte blanche en dentelle fine qui ne doit plus cacher grand chose de son sexe humide. Entre ses jambes écartées, mes doigts poursuivent leur travail, mais je sens que Laurence a envie d’autres caresses. En passant sa main dans mes cheveux, en avançant son bassin vers l’avant du siège, elle offre un accès de première classe à son minou détrempé. J’avance délicatement ma bouche vers sa chatte au parfum enivrant, une odeur si agréable qu’elle ne peut que m’inciter à la dévorer tendrement. De mon mieux, je parviens à écarter le tissu et accède à cette fente toute heureuse de recevoir mes baisers. J’écarte délicatement ses lèvres, gonflées par l’excitation, et commence à la brouter avidement. Elle réagit promptement et s’agrippe à mes cheveux, qu’elle tient fermement. Mais son étreinte se relâche sous mes mouvements de langue, elle doit trouver un autre point d’appui et finit par se cramponner au fauteuil pour ne pas défaillir, tant l’excitation est intense. Elle est proche de la délivrance, son bas-ventre suit parfaitement les mouvements de ma bouche. Je suspend un instant mes baisers, enfonce doucement un doigt dans le temple humide et l’offre à la dégustation de sa bouche. Elle le lèche avidement comme si ...