1. Le lit d’hôpital


    Datte: 22/04/2019, Catégories: Épouses affectueuses,

    Résumé : Immobilisé sur son lit d'hôpital, un patient regarde impuissant sa femme se faire empaler par deux médecins mieux dotés que lui. Mots-clés : Cocu Soumis Bisexuel Voyeur Inconnu Vieux PlusGros GrosSexe Sale Humiliation Hopital ************************************************************ D'aussi loin que je me souvienne, je n'ai jamais eu une bonne santé. Adolescent, j'ai eu la varicelle la semaine où je devais coucher pour la première fois avec une fille... bien entendu ma copine de l'époque m'a laissé tomber avant que nous n'ayons le moindre rapport. Pour mon mariage j'ai eu une gastroentérite aigue ... j'ai dû passer tout le repas sur les WC ... c'est même mon vieux copain Louis qui a ouvert le bal avec mon épouse, Nadia. Cette fois encore, j'étais cloué sur un lit d'hôpital. Mis en quarantaine pour des oreillons très contagieux, cela faisait trois semaines que ma femme n'avait pas eu le droit de me rendre visite. Finalement le virus avait fini par s'affaiblir, et le médecin m'annonça que Nadia pourrait passer me voir dans l'après-midi. Ma femme arriva dès le début des horaires de visite. Tout de suite, j'ai senti qu'elle était excitée. Cela faisait trois semaines que nous n'avions pas baisé et elle était chaude comme de la braise. Ses joues étaient rouges en permanence. Apres avoir sorti quelques banalités, elle commença à me caresser en disant « J'ai envie de toi. » Un peu fatigué, j'essayai de lui faire comprendre que je ne savais pas si je serais à la hauteur, ...
    ... mais elle réfuta « C'est aujourd'hui ou jamais! J'ai pris ma température ce matin et je suis au maximum de mon cycle fertile » Ça faisait quelques mois que nous essayions d'avoir un enfant mais en vain, résigné, je la laissai continuer. Elle comprit que j'étais trop fatigué pour l'aidé et prit les choses en main. Après avoir vérifié que personne n'était là, elle glissa sa main sous les draps de mon lit d'hôpital et commença à me masturber. Ses mouvements étaient agréables mais j'avais encore des courbatures à cause de la fièvre. Mon sexe restait mou et froid. De toute façon les docteurs m'avaient bien dit que le virus pouvait avoir affaibli d'autres organes, comme les testicules par exemple. Soudain, un homme en blouse bleu ciel entra dans ma chambre. Nadia eut juste le temps de retirer ses mains sans que l'intrus ne se doute de rien. C'était mon médecin, un pakistanais moustachu avec des mains aussi grosses que des gants de baseball. Depuis quelques années, dans le cadre d'un programme d'interchange avec le Aga Khan University Hospital de Karachi, l'hôpital de Perpignan accueillait du personnel Sindhi en formation. Apres s'être enquis de mon état, le docteur me prit la température, puis demanda à ma femme de sortir car il devait me prodiguer quelque soin. Bien entendu, Nadia qui connaissait mon corps par cœur s'y refusa. Le médecin m'expliqua, dans un français parfait, l'objet de son examen « Vous avez encore de la fièvre. Je voudrais vérifier si vous ne soufrez par d'une ...
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