1. Le lit d’hôpital


    Datte: 22/04/2019, Catégories: Épouses affectueuses,

    ... continua de la pistonner pendant un moment en faisant des commentaires salaces. Puis ce fut le tour le plus jeune. Il s'assit sur mon lit sans faire attention à mes jambes puis souleva Nadia et l'assit sur son membre encore plus épais qu'avant. Il me dit « Que c'est bon! Sa chatte est tellement serrée autour de ma bite! Je la sens palpiter ... Ta femme est une salope! ... Je vais la défoncer avec ma grosse queue, après ça, sa chatte sera trop étiré pour ta bite paresseuse » Mon épouse, couchée sur son estomac, haletait de plaisir. C'était très érotique de la voir faire des efforts pour contenir ce pieu turgescent. Parfois elle me regardait en disant « Prend des notes, c'est de ça dont j'avais besoin, pas de ton sexe rachitique. » Le second docteur, incapable d'attendre plus longtemps se plaça derrière elle et poussa sa queue veineuse entre les lèvres de mon épouse. Les deux grosses bites s'enfonçaient ensemble dans la vulve ma femme. Le lit bougeait de plus en plus violement et moi avec. Nadia criait de plus belle. J'avais le sentiment que j'allais la retrouver complétement distendue, et que plus jamais je ne serais capable de la satisfaire. Dorénavant, elle aurait toujours besoin d'énormes queues pour apaiser sa chatte en feu. Les gémissements de Nadia et les râles des deux pakistanais emplissaient ma chambre. Un membre du personnel chargé de l'entretien de l'hôpital, fut attiré par le bruit. Le curieux, qui devait sans doute passer la serpillère dans le couloir, entrouvrit ...
    ... la porte et pénétra dans ma chambre. C'était un homme à la peau grise, peut-être était-il aussi pakistanais. Il avait largement dépassé l'âge légal de la retraite. Il avait l'air sale et n'avait plus beaucoup de dents. Quand il prit connaissance de la situation, ses yeux sautèrent de leur orbite. Derrière lui, il ferma la porte à clé. Sans ne rien demander à personne, il enleva sa salopette et libera son sexe. Sa queue énorme pendait jusque à mi-cuisse. Elle était longue, noueuse et ridé. Jamais je n'en avais vu de pareille, ni dans les vestiaires de mon gymnase, ni dans les revus de mon adolescence. Elle était sale et hirsute ; ses poils clairsemés poussaient presque jusqu'à son gland. Il s'approcha de moi et sans aucune forme de procès, commença à gifler mon visage avec son membre flasque. Uns drôle d'odeur émanait de sa grosse bite moite, un peu comme quand vous vous grattez l'anus et que vous vous reniflez les doigts. Il avait dû baiser un trou du cul plein de merde et ne s'était pas nettoyé la queue ensuite. Je pouvais aussi voir le fromage blanc qui s'était accumulé sous son prépuce. Il empoigna sa bite dans une main et la promena devant mon nez. J'essayai de reculé mais j'étais bloqué par le poids des trois autres qui baisaient su mon lit. « Renifle ma grosse bite, sale pédé! Sent comme elle pue! » Ordonna t'il en écrasant son gland contre mes narines. L'odeur envahit mon esprit. Je pensais que je serais dégouté, mais mon pénis commença à durcir tandis que je respirais ...