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Miss Emma
Datte: 22/04/2019, Catégories: Anal Mature,
... trouver derrière elle. Devant nous une vieille n'en finissait pas de pérorer. D'un regard entendu nous manifestâmes ensemble notre agacement. Puis nous vînmes à échanger.A dessein et pour provoquer je lui demandais si elle avait été contente des services de Pedro le garagiste. Au début elle ne perçut pas le caractère inquisiteur du propos. Cependant elle ne se faisait pas de doute sur mon désir. Elle se trémoussait à force. Cette salope mesurait sans doute que je bandais. Elle devait considérer que nous n'avions pas couché ensemble et que ma queue pouvait valoir le coup. Puis à un moment je lui balançais qu'elle devait se défier de mon ami Pedro car il était chaud lapin. Elle sourit comprenant l’allusion.Avant qu'elle eût quitté l'officine j'eus le temps d'ajouter : « Je voudrais vous inviter à boire un verre, chère. » Son regard mutin signifiait plus que l'implicite assentiment. J'étais désormais résolu à l'attirer dans mes rets. J'en vins à exercer une méprisable filature. Ainsi sus-je qu'après un passage chez son esthéticienne, elle se perdait souvent une heure chez son libraire. Salope, elle n'en avait pas moins des lettres et de la culture. Ce détail acheva de me la rendre fascinante. Moi-même je goûtais les bons auteurs.Ainsi fis-je en sorte une après-midi d'être comme par inadvertance derrière elle avec un bouquin à la main. J’avais choisi l****a de Nabokov, un truc retors et sulfureux. Elle n'en parut pas choquée. Elle adorait l'argument et le style de l'auteur. ...
... Elle n'y trouvait rien de scabreux. Elle me dit droit dans les yeux qu'à quinze ans, un oncle l’avait dépucelé et qu'elle en avait gagné du temps et de l’expérience. Après une telle entame il ne parut que plus facile de proposer de poursuivre cet échange devant un verre. Elle avait des cuisses magnifiques.Nous trônions à la terrasse d'un café. Je n'étais pas peu fier de discuter avec une jolie femme. Elle me parlait avec un grand sérieux de ses auteurs préférés. Je découvris ce jour-là qu’elle mettait de la passion dans tout ce qu'elle faisait. Par un détour elle me confirma qu'elle aimait le sexe. Elle ajouta qu'elle et son mari étaient adeptes de l'amour libre. A cet instant elle décroisa ses cuisses assez longtemps pour que je pus à loisir examiner toute sa culotte. Celle-ci était mauve pale et transparente. On y percevait le dessein de sa chatte.Je me sentis autoriser à mater sans façon l'objet dévolu. Je bandais. Sans doute était-ce l'effet escompté. Nos regards échangés ne laissèrent planer plus d 'équivoque. Il était manifeste que je voulais la sauter. Elle n'y voyait pas d’inconvénient. L'idée lumineuse me traversa qu'il y avait à dix kilomètres de là, le château de Saché où Balzac avait écrit et qu’elle n’avait jamais visité. Je me proposais de l'y emmener une de ces après-midis. Je n'adorais rien tant depuis le début de la retraite que ces moments où je courais la gueuse.A la sortie d'un virage je la vis surgir toute droite sur un talus dans sa petite robe courte et ...