1. Miss Emma


    Datte: 22/04/2019, Catégories: Anal Mature,

    ... légère. Elle avait un peu outré le maquillage. Elle me voulait séduire. Manifestement et ce à tort craignait-elle que j'eus encore un scrupule ou une réticence imbécile à la toucher. Elle fut vite rassurée. Ma main peu après lui palpait la cuisse chaude. Elle sourit. Je me rangeais sous un arbre dans un ultime virage. Sa lèvre était douce et odorante. Elle embrassait merveilleusement. Ma main put s'enfoncer hâtivement dans sa culotte.Je fus sucé et branlé sans rémission. La pipe fut longue, méthodique, savoureuse. Elle me laissa exploser dans sa bouche. Me fixant droit dans les yeux, elle s'enquit d'avaler tout mon sperme comme pour me signifier qu'elle était bien la putain que je croyais. Il est vrai que je n'étais pas peu impressionné d'autant que mutine elle me proposa d'enlever sa culotte et que celle-ci se réfugia dans ma broîte à gants. Je la pouvais garder. Elle n'en ajouta pas moins persifleuse que j'encourais sûrement le risque que madame la découvrit.Ainsi nous visitâmes le château. J'eus peur plus d'une fois lorsqu’elle montait un escalier ou se baissait qu'on vit son cul, sa chatte. Elle, cela l'excitait. Nous nous embrassions dans des coins. Je la pouvais peloter sans vergogne. Elle me dit qu'elle eût aimé me sucer ici pour satisfaire aux mânes de Balzac. Ce dernier était voyeur et vicieux notoire. Elle abondait en son sens. J'eus hâte de quitter le château. Peu loin dans l'herbe, la miss fut entreprise en levrette. Un tombereau d’insultes l’accabla. Elle ...
    ... mérita mille fois le terme de pute.J'en vins bientôt à trahir et manifester ma jalousie. Je ne comprenais pas sa frénésie de sexe et qu'elle coucha avec le premier venu. Elle me confessa qu'elle-même cela la troublait. Cela confinait au pathologique. Elle n'en réfutait pas moins le terme idiot de nymphomane. Quand nous croisions un type dans la rue et que celui-ci la dévisageait avec une certaine intensité, je l'interpellais furieux : « Et lui t'as couché avec ? » Alors elle haussait des épaules me répondant maussade : « Pauvre type ! » Nos rapports s'envenimaient.Puis nous vînmes à l’inéluctable auquel je poussais. Ce fut moi qui un jour par jeu lui dis « J'aimerais te prendre avec des copains. Cela fait longtemps que je n 'ai sacrifié à ce rite ». Elle haussa des épaules. Cette idée me devint une obsession. Ce fut à Ahmed que je soufflais la chose. Je fus atterré de savoir qu'il avait fait cela maintes fois avec la miss et notamment avec Pedro, mon rival. Celui-là m'avait précédé en tout. Je dis à Ahmed qu'il devait à tout prix me trouvait un costaud pour que nous organisions une partie.Ce fut le début de la fin. La garce n'osa avouer sa réticence à mon égard. Prise à son propre piège elle ne pouvait se prévaloir d'une fausse pudeur et renier son credo libertin. Baiser avec plusieurs mecs avait été souvent son lot. En fait déjà à cette époque elle répugnait à faire cela avec moi. Mon temps était compté. Je m’installais benoîtement sur une branche que j'avais scié. J'en eus la ...