1. L'ascenseur (1)


    Datte: 24/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    L’ascenseur (I Partie) — Bonjour, Sylvain — Bonjour, Sandra — As-tu trouvé facilement ? — J’ai un bon GPS … Tu es encore plus belle que sur les photos ! J’ai mis une robe Desigual avec un énorme décolleté en forme de V, aux motifs typiques de cette marque, à dominance des rouges et les formes géométriques. Un manteau noir par dessus et des bas en résille de la même couleur. Et mes cuissardes noires… — Toi… Tu n’es pas mal, non plus — Mmm ! Merci, ma belle ! Super, ta robe ! — Tu as vu ! – j’ouvre mon manteau pour la lui montrer en entier. — Waouh ! Sacrée décolleté ! - il ne peut pas s’empêcher de me peloter les seins. — Et j’ai fait comme tu m’avais dit : pas de soutien-gorge ! — Oh, putain ! Que tu es coquine ! – il plonge une main à l’intérieur. Il me pince le mamelon avec force, entre son pouce et son index. Comme il est dur, déjà ! — Aïe ! Doucement, grosse brute ! Ils sont très sensibles… — Et, tu m’as obéi aussi pour … - il glisse l’autre main en dessous de ma robe, entre mes cuisses, légèrement écartées. Salope ! Tu es toute trempée !!! Deux jours avant, et après de longues conversations à travers le chat du site, j’avais accédé à lui donner un rendez-vous chez moi. Je lui avais indiqué le nom d’une rue proche de la mienne, au cas où il ne se manifesterait pas ou si, en le voyant, je sentais de mauvaises vibrations. Là, je ne sentais seulement de très bonnes vibrations, mais aussi, une presque insupportable excitation. — Arrête ! C’est mon quartier… Et, en plus, tu ...
    ... ne m’as même pas embrassée. Il arrête de me tripoter le sein mais enfonce davantage un doigt dans ma fente. J’émets un petit couinement et serre mes cuisses comme une tenaille. De sa main libre, il attrape mes cheveux derrière ma nuque et approche sa bouche de la mienne. Mes lèvres sentent le gout mentholé du bout de sa langue. J’ouvre la bouche et lui offre la mienne. On se roule une pelle comme un couple d’adolescents. Sauf que sa main experte et son diabolique doigt sont en train de me catapulter vers les sablonneux méandres du plaisir. Une dame passe tout près de nous et nous jette un regard réprobateur. — Viens ! –je lui dis en me libérant de son étau lubrique. Allons chez moi… Autrement, on finira à la Gendarmerie. Il me tient par la taille mais ne peut pas s’empêcher de me taper sur les fesses, une grosse claque, par dessus mon manteau. Je le regarde. Il est beau. Très beau. J’ai envie de le caresser, moi aussi. — Je meurs d’envie de te baiser, Sandra — C’est réciproque, mon chaton… Je suis une bouilloire ! Nous arrivons devant la porte de mon immeuble. Le concierge –un homme bâti comme une armoire mais pas trop développé du ciboulot- est en train de balayer l’entrée. Dès qu’il m’aperçoit, me lance un regard plein de sous-entendus : — Bonjour Madame Sandra… Vous ne travaillez pas, aujourd’hui ? — Non, Dom, les mercredis je ne travaille pas, généralement… Sylvain renforce son étreinte, comme s’il voulait marquer son territoire. Dominique lui jette une œillade pleine de ...
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