1. L'ascenseur (1)


    Datte: 24/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... méfiance. — Passe une bonne journée, Dom –lui dis-je, en guise d’au revoir. — De même, Madame — Nous entrons dans le hall et nous dirigeons vers l’ascenseur. Sylvain approche sa bouche à mon oreille et me dit : — Il te baisse, celui-là ? — Non !!! — Donc, ce n’est pas l’envie de le faire qui lui manque ! –et me malaxe les fesses bien ostensiblement. D’ailleurs, ça ne m’étonne pas ! — Ah, bon… pourquoi ça ? — Tu es zappé comme une escort-girl, ma belle ! — Arrête de me tripoter le cul, Sylvain… Attend un peu, s’il te plait ! — Touche ça, Sandra ! –il m’attrape la main et la dirige à son paquet. D’instinct, je serre ma main sur sa bite. — Purée, bébé ! Tu vas péter ton pantalon ! Je me retourne pour zieuter si le concierge est en train de nous regarder mais, non. Il est, maintenant, en train de parler avec Monsieur Pierre, mon voisin du cinquième, un papy qui vit avec sa femme juste dans l’appartement au dessous du mien et qui me rappelle beaucoup un de mes grands cousins de Barcelone, toujours en costard cravate, élégant et très poli. Nous entrons dans la cage et, simultanément, les mains de Sylvain se mettent à me caresser. Juste au moment où les portes se ferment, on entend la voix de M. Pierre — Attendez-moi, s’il vous plait — Il va falloir attendre –lui dis-je à Sylvain. Venez, Monsieur Pierre — Ça, on va le voir… - me répond mon amant d’un ton plus que coquin. C’est un grand ascenseur, complètement fourré d’une horrible moquette couleur beige, très années 70. Il est ...
    ... horrible et sent le moisi. Je suis en train de penser à ça quand l’ascenseur démarre. A peine une seconde après et laissant le petit vieux en son début de phrase, Sylvain se jette sur moi et me pousse contre une des parois de l’ascenseur. Mon dos s’écrabouille contre le panneau des commandes de l’ascenseur et celui-ci s’arrête. — Oh ! Nous nous sommes arrêtés… -s’exclame le vieux d’une toute petite voix. — Ne vous inquiétez pas, Monsieur Pierre –dis-je, en me débarrassant momentanément du placage de Sylvain. — Attends, Sandra… Laisse-moi, faire... Papy ? — Heu… Oui, monsieur — Comment la trouvez-vous, votre voisine ? – en disant ça, il ouvre les pans de mon manteau pour lui montrer ma jolie robe. Je le laisse faire. Le ton est doux et je n’ai pas du tout l’impression que Monsieur Pierre soit alarmé. — Heu… Belle, très belle… Son regard fixe mon décolleté. Mes seins sont presque au découvert. Par-dessus mon épaule, Sylvain introduit une main dans le haut de ma robe et sort entièrement un de mes nichons : — Approchez, Papy ! Venez la caresser ! – j’ai déjà les deux seins dans les mains de Sylvain. Je fais un dernier effort pour m’opposer à cette impudique exhibition. — Arrête, Sylvain… Monsieur Pierre est tout gêné… — Hum… Madame… Moi… Je commence à sentir que cette histoire peut vite dégénérer. Je me pose la question : « Le souhaites-tu ? » — Allo ? – la voix du concierge sonne à travers l’interphone du système d’alarme de l’ascenseur. Tout va bien ? Madame Sandra, Monsieur Pierre… ...