Une nuit calme
Datte: 24/04/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
voiture,
Oral
pénétratio,
attache,
québec,
amourcach,
... sur mes seins, surtout au creux de ceux-ci. C’est une caresse merveilleuse. T’as les yeux fermé, tu vas jouir ?— N’augmente surtout pas le rythme. Je suis dans les nuages. Je veux y rester un moment.— Je peux lire ton plaisir sur ta figure, dit Catherine.— Catherine, je…— Tu vas jouir mon amour ?— Je… je t’aime Catherine. Aussitôt, elle coupe l’eau, se relève, dépose un rapide baiser sur mes lèvres puis attrape une serviette. Elle assèche ses longs cheveux, elle semble soucieuse. Là, je suis méfiant, va-t-elle encore avoir une réaction imprévisible ? Toujours sans un mot, elle termine d’assécher ses cheveux, passe rapidement la serviette sur son corps puis sur le mien. Je me dis que si elle ne me jette pas dehors, c’est bon signe. Je me laisse faire attendant la suite. Elle me pousse doucement hors de la douche, me dirige vers sa chambre. Lorsque j’entre dans la chambre, c’est le lit qui attire toute mon attention. Un très grand lit avec à chaque coin une colonne, de plus, il est très haut. — Regarde, il n’y a pas d’appareils à torture, me dit Catherine.— Les poteaux, c’est pour mieux m’attacher ?— Détends-toi, pour l’instant j’en ai pas l’intention. Catherine, toujours derrière moi, dépose un baiser dans mon cou, elle caresse mes seins, pince les bouts qui, à ma surprise, sont érigés. Je laisse aller ma tête vers l’arrière, elle en profite et passe sa langue dans mon oreille, elle sait que je ne peux résister à cette caresse, tout mon corps tremble. Elle murmure : — ...
... Couche-toi au centre du lit. Je m’exécute avec un regard méfiant vers elle. Elle grimpe à son tour, se place à califourchon sur moi, saisit ma tige, la place à l’entrée de son puits d’amour et s’empale d’un coup. Je veux lui caresser les seins mais elle saisit mes mains et les place sur ses cuisses en les maintenant. Elle ferme les yeux et commence à onduler du bassin. Après quelques secondes, elle part dans un monologue, comme si elle réfléchissait à haute voix. — Mon amour, je ne doute pas de ta sincérité. Je sais que tu m’aimes. Tu te rappelles cette nuit quand je t’ai dit que tu te trahissais toi-même, c’est là que j’ai compris que tu m’aimais, mais toi tu n’avais pas encore réalisé. Oooh, c’est bon ! Ta tige grossit encore. Incroyable comment cette fille réussit à me décoder. Va-t-elle toujours parler comme ça lorsque l’on fait l’amour ? Au moins je sais ce qu’elle pense et ressent. Bon, elle continue. — Je savais que ce n’était qu’une question de temps avant que tu avoues. Humm mm. Tu m’as demandé de m’exprimer, alors j’exprime. En quelques heures, ma vie a basculé, je ne sais plus quelle émotion vivre. Aaaah, que c’est bon, je me sens pleine. Elle est belle, ma Catherine, quand elle prend son temps et se donne du plaisir. Je n’ose pas l’interrompre. — Réalises-tu qu’à partir de maintenant, nous serons partenaire à temps plein ? Arrrrrrgh. Je veux vivre avec toi. Ouffff, je jouis là, oui je jouis. C’est bon, c’est doux. Je suis heureuse. Malgré sa jouissance, Catherine n’arrête ...