Une nuit calme
Datte: 24/04/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
voiture,
Oral
pénétratio,
attache,
québec,
amourcach,
... pas d’onduler du bassin, elle se maintient dans un état euphorique. Je ne veux pas la sortir de ce rêve, je sens qu’elle a encore des choses à dire. — Mon amour, répète ce que tu m’as dit sous la douche.— Je t’aime Catherine, je lui réponds.— Hooo oui, je jouis encore, je t’aime.— Jouis ma belle, j’aime te regarder jouir, tu es très belle.— Marc ?— Oui, mon amour.— Tu m’en veux de t’avoir attaché cette nuit ?— Non ma chérie, mais tu me tortures encore.— Mais non mon amour, je suis toute douce, là, dit-elle en souriant.— À te balancer comme ça sur moi, tu prends ton pied mais tu fais bien attention de ne pas me faire jouir.— Tu crois que j’abuse ? Tu sais, ça trois fois de suite que je jouis.— Catherine, t’es une cochonne, je lui réponds en souriant.— Oh, le gros mot ! D’accord, je te lâche les mains mais tu te me laisses faire ce que je veux. Ne pense qu’à ton plaisir, ferme les yeux, ne pense qu’à toi. Je ferme les yeux, place mes bras sous ma tête et attends. Elle se place à côté de moi, je sursaute lorsque sa langue touche la pointe de mon sein, elle doit tenir ses cheveux. Elle attaque le deuxième sein, je soupire, elle suce comme je lui fais. Ses cheveux tombent sur ma poitrine, elle les promène de haut en bas, elle se rend sur ma tige, mes couilles, les cuisses. Je lui dis que j’aime, ses cheveux remontent rapidement jusqu’à mon visage, elle dépose un baiser sur mes lèvres mais repart aussitôt. Elle change de position, elle s’installe entre mes jambes. Ses cheveux ...
... touchent mes cuisses, elle passe sa langue sur l’intérieur de celles-ci, j’ai un frisson. De ses mains, elle écarte mes cuisses au maximum, une main saisit ma tige et s’agite dessus tandis que sa langue caresse mes boules. Je laisse passer un gémissement, elle continue cette caresse encore quelques secondes. Elle m’embouche, je deviens sonore, hum mm, elle me lâche, sa langue joue sur le bout, elle me reprend en bouche, elle accélère le rythme, mon bassin va à la rencontre de cette bouche. Le désir de jouir me prend, d’une pression de la main sur mon pubis, elle m’impose l’arrêt. Je lui dis que je veux jouir, elle répond : — Viens jouir en moi. Rapidement elle se couche sur le dos. Sans attendre je suis au-dessus d’elle, elle me guide, je la pénètre jusqu’à la garde, reste en place car la sève monte déjà, elle me dit : — Donne-moi tout. Je tremble de tout mon corps tandis que j’explose en elle sans bouger. J’ai l’impression que je n’arrête pas de gicler, Catherine crie son orgasme, je ne bouge pas, toujours les yeux fermés je savoure cet instant. Catherine me caresse la poitrine, j’ouvre les yeux, elle me sourit puis me tire vers elle pour un long baiser. Je me couche à ses côtés, elle se tourne plaçant sa tête sur mon épaule. Je lui exprime mon bonheur. — C’était merveilleux, je n’ai jamais joui comme ça.— Tu m’as tellement remplie que tu m’as sûrement fait des jumeaux.— Probablement trois, je lui réponds.— Marc, tu restes dormir avec moi ?— Je suis trop bien, je ne bouge pas ...