1. Faux-semblants


    Datte: 24/04/2019, Catégories: fh, jeunes, grossexe, taille, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, sm, attache, aventure, fantastiqu, merveilleu, sorcelleri, merveille, fsoumisah,

    ... formule d’activation. Puis, il laissa négligemment choir son origami canin dans une urne ornementale, au pied du haut cylindre de marbre rose. Dans l’intervalle, le garde à l’entrée actionna une cordelette de velours et, juste au-dessus d’eux, à l’étage, une petite clochette tinta gaiement. — Un sieur de Treviz pour M’sieur le Comte ! hurla le gardien de la porte, pour accompagner la tintinnabulante alerte. Près d’une minute passa, dans un silence pesant. Puis, un jeune garçon –18 ans, pas plus, jaugea le visiteur – dévala l’escalier bruyamment, manqua de s’étaler sur les dernières marches, se rattrapa in extremis au mollet d’un éphèbe d’albâtre qui ornait l’une des alcôves à proximité, et atterrit au pied du faux antiquaire. Décélérant brusquement, sa course échevelée devint un petit trot maladroit et se termina en une courbette obséquieuse. — Messire de Treviz ?— Lui-même. À qui ai-je l’honneur ?— Je suis Gustaf, le chef majordome et, sans vouloir me vanter, un peu l’intendant du domaine. Je ne puis vous conduire à mon seigneur et maître le Comte pour le moment car il est sorti en ville. Mais je peux vous offrir de l’attendre dans le Grand salon…— Le Comte… il en a pour longtemps ?— Je ne saurais le dire, une heure, voire deux, tout au plus.— Bien, j’attendrais alors. Oh, et plutôt que de vous déranger dans vos tâches dans quelques minutes, peut-être pourrais-je satisfaire une envie naturelle dès maintenant… L’ « intendant » écarquilla les yeux mais finit par comprendre. — ...
    ... Ah, heu, oui, bien entendu. Je vous conduis au cabinet d’aisance.— Merci mon brave. Celui qui se faisait appeler de Treviz, profita donc du petit trajet pour repérer les lieux. Disposant de ci et de là d’autres pliages qu’il gardait en quantité, il truffa le premier niveau du bâtiment de ces petites surprises à retardement. C’est en passant devant une bibliothèque qu’il entraperçut une silhouette féminine penchée sur quelque ouvrage. Blonde, la vingtaine, plutôt gironde, belle poitrine, un carré avec une mèche retenue d’une barrette du dernier chic. Vêtements d’aristo. Il y a un truc qui ne cadre pas avec les mœurs du proprio… Comme dotée d’un sixième sens, la jeune fille tourna la tête et plongea ses yeux dans ceux du visiteur. Elle haussa un sourcil, comme surprise, puis lui adressa un sourire affable, qu’il se dépêcha de rendre. Attendant d’être hors de portée des oreilles de la donzelle, l’hôte du comte D’Arghyll interpella Gustaf : — Qui était cette charmante demoiselle ?— Je – et le malaise de l’intendant était visible –… je crois que c’est la nièce de Deesk… de Monsieur le Comte. Oh, le vilain mensonge… — Vous « croyez » ? J’ignorais que son frère eu une si jolie fille. Il me semblait que son épouse était fort jeune…— Je… je veux dire, que c’est sa nièce adoptée.— Ah, pas de bol. Être adoptée et perdre son père si vite. Et donc, le comte l’a adoptée à son tour ? Pauvre enfant…— Oui, en effet, répondit le jeune garçon, de plus en plus paniqué. Qu’est-ce qu’il cache cet ...
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