1. Voisin Voisine 2


    Datte: 25/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Eh, Jean, d’où sors-tu ainsi habillé ? Ne me dis pas que tu remontes du jardin en tenue de dimanche. Odile me trompe, je peux lui mentir, je pourrais lui dire que j’étais à l’église. Je préfère lui souffler mon haleine sous le nez : - J’ai fait un petit tour au bistrot, histoire de me changer les idées. J’ai bien ri en entendant conter les malheurs d’un type cocu. Il se passe de drôles de choses parfois. Quand il était au travail, la femme du malheureux recevait un amant à domicile. Quelqu’un l’a averti, il est rentré chez lui furieux et l’a rossée. La cochonne est couverte de bleus mais n’ose pas porter plainte, car elle se sent en faute et l’amant, un homme marié, se défile. Elle jure de ne plus recommencer. C’est du vent, quand on a le vice dans la peau on recommence, il ne faut pas se fier à la parole d’une salope. Moi, à la place du cocu, je la foutrais à la porte. – Ah ! Qui est cette femme malhonnête ? Tu la connais ? - Je suis arrivé un peu tard pour tout entendre. Et puis c’est sans importance. Ce n’est pas toi qui me jouerais un tour pareil, ma chérie. As’tu assez dormi, es-tu bien reposée ? - Il n’y a pas mieux qu’une grasse matinée pour se retaper après une semaine difficile. Tu vas au bistrot maintenant ? Y avait du monde, des femmes ? - Plus d’hommes que de femmes bien sûr. Certaines sont des chasseuses d’hommes. Elles ont mauvais genre. – Tiens, ce ne serait pas ce qui t’attire ? Qu’est-ce que tu as bu ? Souffle… du pastis ? - Fais-toi embaucher comme nez ; ...
    ... oui j’ai bu deux pastis. Tu dormais, j’étais seul, le soleil tapait trop fort, je me suis offert une petite escapade. - Oui, je vois tu empestes l’anis et tu as du rouge à lèvres sur le col de ta chemise. J’espère que ce n’est pas moi la cocue. Viens faire un tour dans la chambre. Aïe, si elle reconnaît le rouge de Nadège, Odile aura une justification pour ses tromperies. Nadège m’a fait une gentille bise quand je l’ai quittée, j’aurais dû faire attention. Enfin, dans le miroir j’ai du mal à remarquer une légère petite trace de rouge. N’en parlons pas davantage. Odile semble d’ailleurs l’avoir oubliée, elle remonte sa robe, fais sa coquette, trémousse du popotin, dégage ses seins à petits tétins, me sourit d’un air coquin, me menace de l’index : - Monsieur se sentait seul, monsieur est allé voir les petites femmes au bistrot ! Qu’est-ce que monsieur a fait avec ces garces ? Ici, monsieur, que j’examine tes attributs. Allez, mon cher mari, déshabille-toi, je veux soupeser les couilles, je veux humer l’oiseau. Malheur à toi si je relève des indices de rapports sexuels. Odile joint le geste à la parole, prend mon scrotum en main, renifle mon pénis. L’examen la satisfait en partie. Elle est à genoux devant moi, me sourit de contentement et me surprend : elle me prend entre ses lèvres, me branle et me suce. Curieusement, après les accusations de Nadège, Odile, si fatiguée hier, se lance dans une fellation inattendue et d’autant meilleure. Elle reconnaît elle-même : - Mon pauvre ...
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