1. Voisin Voisine 2


    Datte: 25/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... qui pourrait les voir en dehors de moi ? Leur présence sur ta peau est la preuve de mon amour, te gênent-ils ? As-tu l’intention d’aller à la piscine ce soir ? – Tu ne changeras jamais, éternel gamin. Que pensera mon médecin ? - Que tu as de la chance d’avoir un mari aussi aimant. Non, il supposerait qu’un autre que moi… ? Non, il te connaît et sait que ce n’est pas possible. As-tu une visite médicale en vue ? Odile cache son embarras en m’enlaçant. Son corps collé au mien émet un tremblement bizarre. Elle me pousse vers notre chambre à coucher pour mettre fin au discours trop proche de sa vérité. Mes propos hier, la menace de foutre à la porte une femme infidèle l’ont certainement troublée si elle n’a pas un plan B bien solide au cas où je viendrais à découvrir l’adultère. Les suçons l’ennuient, André voudra savoir. L’affirmation de l’impossibilité de l’existence d’un amant contient une vague suggestion. Mon retour imprévu, mon désir de câlin, l’affirmation de mon privilège de mari pour certaines marques, tout vient bouleverser ses plans. Nue elle s’installe en bordure de matelas, veut que je la possède en levrette, me présente sa vulve. Je ne suis pas pressé au point de la pénétrer aussitôt. Je prends mon temps, je frotte d’une main la surface offerte, j’y glisse un puis deux doigts. Elle mouille, elle fait tourner son bassin autour de cet axe. Un coup de langue ouvre la fente, mes lèvres enferment son clitoris. Je multiplie les formes de préliminaires, je la chauffe ...
    ... à blanc. Elle m’appelle, veut être prise. Je traîne, je gagne du temps. A la fin, elle s’impatiente, se jette sur le dos, ramène ses genoux à hauteur des hanches. Dans sa hâte elle a oublié sa coiffure. Je vais utiliser cette position pour aggraver le dommage. Je m’allonge sur elle, je m’enfonce normalement dans son vagin. Longuement je vais et viens dans ce sexe lubrifié. Je dure et pour terminer je soulève fesses, hanches et bas du dos, je l’appuie sur les épaules, j’écrase sa tête dans le coussin et je fais subir à sa coiffure les pires outrages. Elle n’a pas fini de se peigner ! Elle pleure sur les dégâts. – Est-ce vraiment aussi grave. Je te paierai un coup de peigne chez ta coiffeuse. Oublie ce détail, pour moi tu es la plus belle. Viens, embroche-toi sur mon pieu, prends ton plaisir et fais moi éjaculer en toi. A dix heures trente je la libère, elle court à la salle de bain, je sors à l’avant de la maison, je me poste de manière à surveiller l’entrée de Nadège. Un peu avant onze heures André franchit la grille, sonne, entre chez Nadège. Au même moment Odile sort, je la regarde, admiratif. Elle ne peut pas faire de signes à l’amant. – Je te croyais couché. Que fais-tu là ? Il y a quelque chose de particulier dans la rue ? - Je veux, ma belle. Sais-tu que notre voisine reçoit un jeune homme qui a au moins dix ans de moins qu’elle. Elle se disait veuve inconsolable. Là, elle me scie les pattes. Te rends-tu comptes ! - Jean, cela ne te regarde pas, tu ferais mieux de ...