Une question de diplôme
Datte: 22/06/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Je suis allé me promener dans ce jardin qui est le mien. J’y cultive ma vie, mes souvenirs et celui qui me vient à l’esprit ne date pas d’hier.Depuis quelque temps, Martine vient réviser chez moi, à cause des travaux bien trop bruyant dans sa rue. Je sais qu’elle veut son diplôme plus que tout au monde, mais ces temps, elle est en baisse de régime, elle n’a plus la motivation qu’il faut pour l’obtenir. Alors, j’ai décidé de l’aider à ma manière. Avant qu’elle n’arrive, sur la commode près de mon bureau, j’ai disposé une longue baguette de bambou et la vieille cravache de mon père, ancien officier et cavalier dans l’armée. Martine ne pourra pas ne pas voir tout ça. Je verrais bien sa réaction. C’est qu’elle a son petit caractère, la belle.Quand elle arrivera, sur les coups des dix heures du matin, tout sera prêt. J’ai déjà préparé une bouteille d’eau fraîche, un verre. Si elle veut s’en fumer une, elle peut le faire, à condition d’aller sur mon balcon. Je serai dans ma cuisine, à la nettoyer à fond, il faut bien de temps à autre.Ça y est, elle vient de sonner, elle entre, me salue depuis le corridor, je lui réponds. Je l’entends ouvrir la porte de mon bureau. Et puis, il y a cette exclamation : « C’est quoi ces bidules ? » Je ne bronche pas, attendant la suite en souriant intérieurement.- Alain, c’est quoi cette cravache et ce bout de bambou ?- Rien, juste au cas où tu te plante comme avant-hier.- Quoi, tu comptes me frapper avec ça ?- Si tu te loupe, oui. Tu comprends, ...
... depuis quelque jours, tu ne te donne plus, tu es même complètement ailleurs. Vu que ce diplôme tu le veux, je vais t’aider, mais à ma manière. Et si ça ne suffit pas, je peux encore te fesser.- Tu te fous de moi ?- Pas du tout. Parfois, la manière forte fonctionne mieux que la douce. J’ai essayé la douce, c’est un échec, je passe donc au cran au-dessus. Du reste si tu ne files pas réviser sur le champ, je commence ton traitement de choc immédiatement.Jamais je ne l’ai vu filer aussi vite à mon bureau. J'avais décidé de serrer davantage la vis, nous allions bien voir s'il allait y avoir des résultats. Près de Martine, je lui dicte mon nouveau règlement.- Bon, écoute, je vais aller droit au but. Prochaine pause midi, pas avant. Ensuite, après le repas et une clope, étude jusqu’à quinze heures. Après, une courte pause cigarette et fin de ta journée à dix-sept heures. Ça te va ?- Mais je rêve ou quoi !- Si tu n’es pas d’accord, tu peux toujours aller étudier ailleurs. Après tout, ce n’est pas moi qui dois aller me présenter aux examens dans un mois. Alors fais comme tu veux.Je suis retourné dans ma cuisine. De là, j’ai entendu la voix de Martine me lancer un « OK ! » bien sonore. Tranquillement, je suis revenu dans mon bureau.- Alors, si tu acceptes, voilà comment je vois la chose. Quand tu viendras me montrer ton travail, chaque erreur te fera perdre un vêtement. Ensuite, une fois que tu seras à poil, chaque faute te vaudra une dizaine de claque sur ton joli petit cul. Si cela ne ...