Une question de diplôme
Datte: 22/06/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
... Putain que c’est difficile de se retenir. J’ai une saloperie d’envie de lui sauter dessus et de te la baiser et je ne peux pas sous peine de tout foutre en l’air.La troisième faute arrive à un quart d’heure de la fin de la journée. Je suis allé voir où elle en était. Ses livres étaient déjà tous fermés, empilés. Quand j’entrais dans le bureau, elle prenait sa culotte pour la remettre. Je me suis fâché tout rouge. Je l’ai levée de ma chaise, l’ai couchée en travers de mes genoux pour lui administrer la plus belle et douloureuse fessée de sa vie. Je ne crois pas avoir fessé quelqu’un aussi durement depuis ma petite sœur quand elle m’avait cassé mon train électrique. C’est dire si c’est vieux tout ça. Martine essaie bien de protester, de se débattre, c’est peine perdue. Quand je la lâche, ma pendule sonne dix-sept heures. Sans même la regarder, je me lève pour aller me rafraîchir le visage dans la salle de bain. Ça calme cette douloureuse tension dans mon pantalon par la même occasion.Je ne me souviens plus si Martine m’a dit au revoir ou pas. Mais sur le bureau, elle m’a laissé sa culotte et son soutien-gorge avec ces mots : « Merci pour tout ce que tu fais pour moi, à demain, Martine. »Le lendemain, un peu avant huit heures, elle arrive. Pas de jeans, mais une robe qui se boutonne sur le devant. Je l’avoue, cela lui va mieux que ses horribles pantalons. Sans attendre, elle s’installe et commence à travailler. Je n’ai pas touché à ses sous-vêtements abandonnés. Du coin de ...
... l’œil, je la vois les pousser délicatement sur le côté. Déjà le nez dans ses livres, moi, je vaque à mes occupations matinales. Oh, c’est vrai, je travaille à domicile, avec mon ordinateur. Ce qui fait que j’ai pas mal de temps libre vu que j’organise ma journée comme je l’entends. Cependant, j’ai pris un peu de retard, un retard que je dois impérativement ratt****r. Donc, je délaisse mon ménage pour me mettre au boulot. De ma place, je vois le dos de Martine. Non pas que je l’espionne, enfin, pas expressément, disons que c’est juste pour m’assurer qu’elle étudie.Jusqu’à la pause, Martine ne décolle pas le nez de ses bouquins. Sur le balcon, pendant qu’elle fume sa cigarette, je lui tends un café.- Merci pour hier, je crois que j’ai compris la leçon.- Cela dit, ça ne change rien à mon règlement. Tu pourrais être n’importe qui, ce serait pareil.- Je le suppose. Non, y a que j’ai fait la conne ces derniers temps.- Comme si je ne l’avais pas remarqué. Bon, il va être l’heure, finis ton café.Elle se retira en allant poser sa tasse à la cuisine. Puis, elle revient, la cravache à la main, elle me la dépose dans mes mains. Elle se retourne, en laissant glisser sa robe sur le sol, elle se dirige vers mon bureau. OK, plus de fessée alors, on passe au degré supérieur. Sauf que là, je n’ai aucune expérience. La fessée, ça va, je maîtrise, mais ça, cette cravache, en plus celle de mon père, je ne l’ai jamais utilisée sur qui que ce soit.Il n’est pas onze heures quand je l’appelle pour un ...