1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (26)


    Datte: 27/04/2019, Catégories: Trash,

    Anita passa une bonne partie de son après-midi chez l’esthéticienne ; celle-ci détruisit au laser les racines des poils, depuis les cuisses jusqu’aux avant-bras en passant par l’entrejambe, les aisselles et le visage. À la fin des opérations, la peau de la jeune fille était légèrement brûlée. De nombreuses zones douloureuses présentaient même de petites cloques ou des rougeurs ; Anita se retrouva badigeonnée avec un onguent gras, antiseptique et analgésique. Elle grimaça en passant sa robe car elle savait que celle-ci serait bonne pour un lavage dès son retour. Lors du dîner, Lenoir aborda sa situation sans détour. — Anita m’a demandé de la prendre en main ; vous êtes au courant toutes les deux. Ce matin, je lui ai donné un aperçu du monde de la soumission : positions et punitions. Elle a été à la hauteur, je trouve. Cet après-midi, elle a été épilée intégralement et définitivement à l’institut. — Ouais ! rétorqua Mélanie en rigolant. Définitivement, mon œil ! Et je suis polie. Il faudra plusieurs séances. C’est comme la peinture monocouche blanche que tu as achetée pour refaire ma chambre : en deux fois, ça va presque. — Et... tu as pris ça comment ? demanda Sandrine. — Ce n’était pas évident pour moi d’être nue devant papa. Un vieux fond de pudeur. Je ne suis jamais à l’aise quand je dois me déshabiller, même chez le gynécologue. Alors... — J’ai cru que tu n’y arriverais pas, avoua Lenoir. Mais tu as de la volonté, et du caractère. — Ce doit être mes origines basques, ...
    ... hasarda la jeune fille en riant. — L’épilation ne t’a pas secouée ? questionna Mélanie. Moi, je n’ai pas aimé. — Menteuse ! ricana Lenoir. Les filles l’ont fait jouir une dizaine de fois à ce que j’ai su. Mélanie ne put se retenir de rougir à ce souvenir. En effet, les employées du salon l’avaient caressée et léchée pendant presque une heure. Malgré l’interdiction de jouir édictée par Lenoir, elle n’avait pu empêcher son corps d’exulter à de nombreuses reprises. — Ah ? s’étonna la petite Basque. Je n’ai pas eu droit au même traitement. J’envisage de me plaindre. Je n’ai ressenti que picotements et brûlures, en fait. — Le résultat te plaît ? — Oui, je crois ; je n’ai pas eu trop le temps d’apprécier le résultat. Mais une chose est sûre : je ressemblais à un homard au sortir du court-bouillon. Au niveau esthétique, ce n’est pas le top. En plus, j’ai des marques un peu partout dues aux leçons de papa... — Ne t’en fais pas, Anita, expliqua Lenoir. Demain matin, c’est révision des positions et cours particulier de fellation, et l’après-midi, achat de vêtements sexy dans un magasin spécialisé. Ça va ? Anita était devenue rouge vif en entendant le programme du matin. Cours de fellation ? Elle n’allait quand même pas sucer son père, non ? Ses oreilles brûlaient ; elle ressemblait à un lapin pris dans les phares d’une voiture. — C’est l’idée de me sucer qui te perturbe ? demanda Lenoir. En fait, j’ai prévu de recevoir deux amis qui s’occuperont de toi. Ils arriveront un peu avant 10 ...
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