1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (26)


    Datte: 27/04/2019, Catégories: Trash,

    ... heures. Tu as déjà été sodomisée ? Anita ne savait pas s’il était possible de mourir de honte, mais une chose était certaine : ses joues en feu avaient pris une couleur carminée du plus bel effet. Elle essaya de répondre mais sa gorge était serrée et elle ne put émettre qu’un faible coassement. Deux hommes ? Deux inconnus, qui plus est ? Et ils allaient la sodomiser ? — Mais... réussit-elle à articuler. Non, jamais ; tu crois que je dois... Je ne sais plus où j’en suis. Elle se tourna vers les deux femmes et chercha dans leurs yeux du réconfort. Sandrine lui prit affectueusement une main et la caressa ; Mélanie fit de même avec son autre main et lui sourit avec un brin d’ironie à la commissure de ses lèvres. — Bienvenue au club des esclaves sexuelles, Anita. Oui, nous sommes passées par là, et même plus. Ce n’est pas le bagne, tu sais. Si tu ne veux pas quelque chose, tu refuses et personne ne t’en tiendra rigueur. — Vous savez, je n’ai pas une grande expérience des choses de l’amour. Du sexe, quoi. Alors faire l’amour avec deux hommes, me faire sodomiser... je ne sais pas si je pourrai. — Bien sûr que tu pourras, expliqua Sandrine. Tu en as sûrement envie, quelque part au fond de toi. Tu n’as aucune expérience ? D’ici quinze jours tu seras fière d’avoir surmonté ta peur, d’avoir dépassé tes limites. — Vous croyez vraiment ? J’ai une trouille bleue, en attendant. — Pour te préparer, ajouta Lenoir, tu dormiras avec un plug anal. Je te le donnerai à la fin du repas, Mél ...
    ... t’aidera à le mettre. — Bien chef, oui chef ! plaisanta Mélanie. Tu as raison : si c’est Freddy qui vient demain, il vaut mieux préparer le terrain. Don est encore à Bordeaux ? — Oui, ils viennent tous les deux, comme tu l’as deviné. Cette nuit-là, dire qu’Anita dormit bien serait un gros mensonge. Entre l’appréhension de ce qui l’attendait au matin et la présence du plug anal qui ne se faisait pas oublier, la jeune fille ne s’endormit qu’au petit matin. Elle fut réveillée par la lumière du jour : un inconnu ouvrait les volets en sifflotant. Clignant des yeux, agressée par la vive lumière du soleil levant, elle poussa un petit cri de frayeur en apercevant, assis sur le bord du lit, un autre homme qui se déshabillait en silence. Tout ce qu’elle en voyait, c’était son dos musclé, ses larges épaules et sa peau d’un noir profond. — Ma, ce n’est rien, petite. C’est juste mon ami Don. Il est impressionnant comme ça, mais il est doux comme un agneau. Ah ! Bonjour, moi c’est Freddy. — Euh... oui, enchantée. Anita. La fille d’Arnaud. — Bonjour ; Don, pour te servir, ajouta d’une voix de basse l’homme assis près d’elle. Un grand sourire rassurant, des yeux pétillants, il faisait tout pour ne pas faire fuir la petite brune. Mais quand il se leva, uniquement vêtu d’un caleçon moulant une virilité semblant imposante, Anita fut troublée, pas habituée à voir dans sa chambre un gigantesque Noir à peine vêtu. Et voilà que Freddy se déshabillait à son tour, jetant ses vêtements sans égard. — Tu ...