1. Vacances espagnoles


    Datte: 23/08/2017, Catégories: fh, hépilé, fépilée, vacances, volupté, Oral pénétratio, fsodo,

    Comme tous les ans, il avait réservé ses vacances sur Internet. Mais cette année, cela avait été plus compliqué : la première agence contactée lui avait semblé bizarre. Il n’avait pas donné suite, persuadé que c’était une arnaque. Il avait tout de même conservé l’adresse, décidé à vérifier son existence une fois sur place. Le voyage se passa sans souci, le temps maussade avait rendu plus supportable le long trajet jusqu’à Denia. Une fois arrivés, l’installation fut rapide : cela faisait plusieurs années que la petite famille descendait en Espagne et, avec l’expérience, elle ne s’encombrait plus de ce qui était inutile. La villa était plaisante et le jardin assez vaste pour que les enfants puissent se sentir bien. Les vacances s’annonçaient sous les meilleurs auspices. Le troisième soir, il proposa d’aller faire un tour à Alicante. Les filles acceptèrent avec enthousiasme. Ils partirent donc en fin d’après-midi et, après une heure de route, trouvèrent une place dans un parking proche du centre-ville. Il avait noté, à tout hasard, l’adresse de l’agence sur un papier :Spain.com, 13 Calle de San Firmin. Ils déambulèrent parmi les camelots et les spectacles de rue. À un carrefour, il chercha sur un plan l’adresse qu’il ne trouva pas. Il en conclut que c’était vraiment une arnaque. La soirée s’écoula dans la douceur espagnole, les enfants étaient fatiguées, il décida de rentrer. En rejoignant le parking, il regarda machinalement le nom des rues, sans illusion aucune, plus par ...
    ... curiosité. « Calle San Firmin »… Il fut surpris de lire la plaque sur une rue contiguë au parc de stationnement où il avait garé sa voiture. Il chercha le n°13 : c’était une petite maison, toute simple, une petite cour ombragée devant lui conférait une impression de miniature auprès des immeubles qui l’encadraient, tels des gardes du corps. Il s’avança. Aucune plaque sur le mur, rien sur la porte. C’est au moment où il allait faire demi-tour qu’elle s’ouvrit. Une jeune femme sortit, éteignit la lumière et verrouilla l’entrée. Il la remarqua à peine, il hésitait et ne savait pas ce qu’il devait faire. Il se retourna et fut surpris. Elle était assez grande, brune, les cheveux longs. Elle portait une jupe courte et un chemisier qui laissait deviner une poitrine généreuse. Il s’approcha d’elle. « Excusez-moi ! Vous parlez français ? — Oui», répondit-elle sans l’ombre d’un accent. Il s’approcha d’elle et, malgré la faible luminosité, remarqua ses yeux. Ils étaient verts, il avait rarement vu une couleur aussi pure. « Ce sont des lentilles », pensa-t-il instantanément. « Vous êtes Vanessa Ibanez ? — Oui, pourquoi ?— Je suis Mel Chervente.— Désolée, votre nom ne me dit rien.— Vous travaillez bien à SPAIN.COM ?— Oui, c’est ma société. » Elle semblait agacée de cet interrogatoire. Il s’en aperçut. « Je ne veux pas vous importuner. J’ai fait une demande de réservation à laquelle je n’ai pas donné suite. J’ai cru que c’était une arnaque. — Ah, vous aussi… Vous n’êtes pas le premier. » Elle ...
«1234...»