Vacances espagnoles
Datte: 23/08/2017,
Catégories:
fh,
hépilé,
fépilée,
vacances,
volupté,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... quelle heure ?— Vers 21 heures, ça ira ?— Pas de problème, je vous attends vers 21 heures à l’adresse que j’ai laissée à votre collègue.— Merci, à ce soir ». Elle avait trouvé la voix plus détendue que la veille. Elle-même s’était surprise à utiliser un ton très amical. Elle passa sa journée à recenser les locations correspondant aux souhaits que son client avait émis quelques mois avant. Vers 20 heures, Mel prépara le repas pour ses filles. Depuis le décès de sa femme, deux ans plus tôt, il tenait à s’occuper lui-même de Juliette et Chloé. Il essayait de leur consacrer un maximum de temps et ce malgré son travail très prenant. Les filles dînèrent tranquillement. Elles demandèrent à sortir. À 17 et 16 ans, elles avaient gagné la complicité et la confiance de leur papa qui, bien que très conciliant, restait intransigeant sur le respect des horaires de sortie. Vers 21 heures, on sonna à la porte. Chloé alla ouvrir. « Bonsoir, je suis Vanessa Ibanez, j’ai rendez-vous avec Monsieur Chervente. — Bonsoir, je suis Chloé. Papa, c’est Mademoiselle Ibanez. Entrez, je vous prie. » Mel arriva. « Bonsoir, Mademoiselle Ibanez ». Il lui serra la main. Elle avait une tenue similaire à la veille. La lumière plus intense lui permit de constater la beauté de ses traits et son allure. « Bon, papa, on y va ! Tu nous autorises jusqu’à quelle heure ? » Juliette et Chloé attendaient près de la porte la réponse « 23 heures ! — Tu exagères, tu avais promis…— Avec qui sortez-vous ?— Nous allons avec ...
... Fabien et Timothée.— Ok, je plaisantais, vous êtes de retour au plus tard à 3 heures.— Merci papa, bonne soirée. Bonsoir, Mademoiselle.— Bonsoir. » Mel proposa à son invitée de passer sur la terrasse. Ils s’installèrent autour de la table. Elle remarqua son élégance et se dit qu’il ne faisait pas son âge. « Je vous offre un verre ? — Oui, je veux bien.— Que voulez-vous : alcool, sans alcool ?— Un jus d’ananas, vous en auriez ?— Oui,— Je veux bien, merci. » Il fit demi-tour, elle se retourna pour l’observer. Grand, mince, il était plutôt bel homme, pensa-t-elle. Il revint avec un plateau qu’il posa sur la table. Il lui tendit un verre. Ils trinquèrent. « Merci de vous être déplacée. — Je suis presque votre voisine, c’était plus simple.— Alors qu’avez-vous à me proposer pour l’année prochaine ? » Elle se pencha pour prendre son dossier dans son sac. Il remarqua qu’elle ne portait rien sous son chemisier et que l’éclairage feutré laissait percevoir la pointe de ses seins. « J’ai sélectionné quelques villas selon les critères de votre courriel. J’espère qu’ils n’ont pas changé ? — Non, nous venons chaque année une quinzaine de jours. Simplement, je ne sais pas si mes filles viendront encore avec moi l’an prochain.— Elles sont grandes !— Elles auront 18 et 17 ans l’année prochaine et aspirent à travailler pour se constituer un petit pécule pour leurs études.— Vous seriez seul, alors ?— Je ne sais pas, probablement.— Voilà, j’ai sélectionné cinq villas. » Elle ouvrit son classeur. Il ...