Et j'y ai pris goût...
Datte: 28/04/2019,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
hsoumis,
fdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
fdanus,
hdanus,
hgode,
init,
... alors quelques va-et-vient de son majeur et recourbe celui-ci, appuyant la pulpe en direction de ma prostate. Cette caresse me fait l’effet d’une contraction éjaculatoire, mais je reste pourtant bien bandé, entre mon ventre et le matelas. Elle sort un instant, et revient mieux armée, de deux doigts maintenant. Je m’élargis du mieux que je peux, poussant de tous mes muscles comme si j’allais évacuer. Ses doigts sont les plus forts, ils vont et viennent dans mon rectum, repoussant toute résistance. Je soupçonne pourtant qu’il reste beaucoup à faire, la différence de volume entre ce qui est entré et ce qui devra me pénétrer reste énorme, et je brûle d’envie à l’idée de la suite. Ma femme me demande alors de me placer à genoux, les bras sur l’oreiller, le bassin tendu en arrière, et je crois alors à un autre jeu, car elle attrape ma queue et me branle, alternant ses mouvements avec deux doigts dans mon postérieur. Deux doigts s’en vont, et elle se présente derrière moi, nous voici dans la position de la levrette, qui est aussi ma préférée, mais dans une autre distribution des rôles, habituellement. Je mesure alors ce que la domination signifie, et aussi l’envie de se faire prendre. Elle pose son pénis noir devant ma rondelle et me prévient : — C’est l’heure, mon amour, tu vas partager mes sensations de la dernière fois !— Vas-y doucement, je ne suis pas autant écarté que toi, et tu m’as l’air d’avoir un gros gourdin !— Doucement ou pas, tu vas te faire enculer, mon chéri… Sur ...
... ces paroles prononcées d’un ton ferme, elle appuie tout aussi fermement sur mon anus encore vierge, en me maintenant par les hanches… Ça rentre… Je sens mon anneau s’ouvrir, puis s’écarter, puis s’élargir, puis se distendre, puis parvenir à la limite de la souffrance, et le premier coulissement, timide, quelques millimètres pour assurer le passage du gland de latex. Il est passé… La première surprise de l’écartement n’est pas encore dissipée, qu’il faut se faire à la sensation inédite d’être rempli, investi, fouillé, envahi, presque violé, mais avec tendresse, et par la femme que j’aime. A chaque instant elle me demande si je supporte, et je n’ose pas l’encourager, et encore moins la dissuader, tant cette sodomie est déroutante, nouvelle et… agréable. Avec mon consentement muet, elle reprend sa pénétration, millimètre par millimètre, et c’est un bonheur de ressentir le frottement dans l’anus, la progression dans le rectum, et la pression sur la prostate. Elle continue sans reculer, sans s’arrêter, me procurant un plaisir multiple et interminable. Tout est là maintenant… Il a fallu qu’elle s’arrête, limitée par la longueur pourtant impressionnante de son godemiché, et je me sens cette fois rempli à fond, prêt à jouir sans me toucher, et peut-être même sans éjaculer. Jetant un œil vers mon sexe, je le vois au repos, comme vidé, alors que je ressens encore la sensation d’une forte érection. Etonné de ne plus bander dans un moment aussi chargé d’érotisme, je porte la main sur ma ...