Et j'y ai pris goût...
Datte: 28/04/2019,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
hsoumis,
fdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
fdanus,
hdanus,
hgode,
init,
Et j’y ai pris goût… Depuis cette soirée où ma tendre épouse s’était ouverte à des fantaisies sodomites, il me tardait de découvrir la prochaine surprise, qui promettait d’être à la hauteur de cette extraordinaire initiation, mais elle ne fit pas la moindre révélation sur ce sujet. Bien que légèrement troublée lorsque j’évoquais notre récente incartade, elle ne trahissait aucune excitation à l’idée de la prochaine, et je n’ai rien pu savoir, pas même deviner la date de ce dimanche fatidique. Comme beaucoup de couples envahis d’une progéniture joyeuse, nous n’avons pas souvent le privilège d’une vraie grasse matinée les jours de congé, et ce dimanche de juillet, où les enfants barbotent loin de nous sur les plages de l’Atlantique en compagnie de leurs grands-parents, est accueilli comme un événement rare à savourer lentement, comme une sieste…crapuleuse. Je n’ai donc rien d’autre à faire aujourd’hui que de m’occuper de ma moitié, dès le réveil, alors que le sommeil réparateur laisse la place à une ardeur très virile que j’entends lui faire partager aussitôt. Lové contre elle en cuiller, je lui communique ma vigueur en essayant d’en glisser quelques centimètres entre ses fesses, mais elle ne se laisse pas faire et réagit en m’envoyant promener, à la douche dans un premier temps, à la cuisine ensuite, pour lui préparer son petit déjeuner, un thé vraiment infusé dans de l’eau vraiment chaude, des biscottes et de la marmelade, et une petite fleur dans un vase, pour une fois. ...
... Autant dire que j’y suis pour un moment, et que mes projets libidineux sont remis à plus tard. Je l’aime aussi quand elle m’envoie sur les roses, et je suis ravi à l’idée de lui faire ce petit déjeuner au lit, même si c’est sans grand espoir de contrepartie immédiate. La suite va me prouver que je me trompe lourdement. Alors que j’attends patiemment dans la cuisine l’infusion complète de son thé, j’aperçois, pendu sur la porte du placard, le petit tablier blanc garni de dentelle, offert en manière de farce lors de son dernier anniversaire, pour la féliciter de ses talents de cuisinière. La semaine d’avant, elle avait perdu un repas de famille entier en se trompant sur la programmation de son four. En recevant cet accessoire, elle avait ri avec nous de ses malheurs culinaires et nous avait assuré que ce petit tablier la garantissait désormais contre la maladresse. Je le regarde un instant : il évoque la soubrette de vaudeville qui hante le théâtre de boulevard et les fantasmes de vieux messieurs. L’idée me vient de m’en revêtir, alors que je n’ai rien sur moi, et de jouer devant elle à la servante un peu godiche. Lorsque j’arrive dans la chambre avec mon plateau et mon accoutrement ridicule, elle éclate de rire, mais je manque laisser tomber mon chargement, tellement ma surprise est immense. Si je me suis habillé en improvisant, elle, de son côté, a préparé le choc le plus intense qui me soit jamais arrivé en la regardant. Je la reconnais à peine et pourtant c’est bien elle qui me ...