1. Visite médicale impromptue


    Datte: 28/04/2019, Catégories: fh, inconnu, médical, hotel, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral

    J’étais dans ma chambre et venais de m’installer sur le canapé de cuir lorsque quelques coups discrets me firent relever le sourcil d’un air interrogateur. Personne ne connaissait encore le nom de l’hôtel dans lequel j’avais finalement réussi à trouver une place ; le congrès des médecins auquel je participais cette année avait laissé déferler une vague de mes collègues de diverses régions et j’avais eu la chance, en début de semaine, de trouver une chambre in extremis. Je me lève, pensant me trouver face au directeur de l’hôtel, avec qui j’avais discuté hier et sympathisé tout de suite. J’ouvre avec un sourire et me fige face à une jeune femme d’environ 35 ans, petite et replète, qui me sourit en avançant la main, l’air un peu farouche. — Bonjour, docteur, le directeur de l’hôtel est un ami et m’a conseillé de venir vous trouver. Je hausse un peu plus les sourcils, perplexe… Elle doit se rendre compte de ma surprise et du doute que j’affiche et poursuit pourtant sur sa lancée. Sa voix est chaleureuse, avec du rire qui perle, ses yeux témoignent que sa bonne humeur n’est pas factice, mais j’y sens aussi un trouble, (le pressentiment du médecin…). Elle continue. — Je suis actuellement à Montréal pour des raisons professionnelles, j’ai une douleur tenace dans le bas du dos ainsi que dans le bas-ventre ; venant d’une région éloignée, je ne connais aucun médecin ici et ne voudrais pas passer à l’urgence pour une broutille. C’est un peu gênant de vous demander cela, mais vous ...
    ... serait-il possible de m’ausculter et de me dire si je dois consulter rapidement mon propre médecin ? J’ai déjà eu à faire avec des urgences plusieurs fois dans ma carrière, et elle semble effectivement souffrir quelque peu, je saisis sa main petite et chaude entre mes doigts et lui souris pour la rassurer. — Je suis médecin, je ne vous laisserai pas dans le mal si je peux faire quelque chose. Mes doigts me fourmillent pourtant de ce simple toucher, et je me perds dans son regard si sombre, profond et tendre, un peu coquin… Elle soupire de soulagement, m’indique que sa chambre est quelques mètres plus loin en face, mais je lui montre la mienne en même temps, lui disant que ma trousse s’y trouve. Elle entre, je respire sa douce odeur de fleur, on dirait du lilas, ses cheveux noirs bouclés - damnation pour tout outil de coiffeur - ont l’air de me narguer tandis que je la guide dans la petite entrée. Il m’arrive parfois de ressentir une attirance pour une patiente, mais celle-ci a un petit quelque chose qui me titille les sens, je refoule pour me concentrer sur ce que je vais avoir à faire. En tirant une chaise face au lit, je lui en montre une pour poser ses vêtements du haut, lui indiquant que pour le moment elle peut conserver ses jeans, je remarque alors qu’elle est pieds nus sur la moquette, petits doigts de pieds qui dépassent de sous la bordure de son pantalon, elle les remue doucement, comme lorsqu’on les enfonce dans le sable en été sur la plage. Je reviens à son visage, un ...
«1234...7»