1. Visite médicale impromptue


    Datte: 28/04/2019, Catégories: fh, inconnu, médical, hotel, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral

    ... roule les doigts autour des mamelons que je sens durcir sous cette caresse toute médicale. Je vais cueillir le sein gauche, passant dessous avec une main et dessus avec l’autre, cherchant depuis le dessous du bras jusqu’au centre dont j’ignore la couleur. Je continue la même manipulation sur l’autre sein… Je la sens fébrile, son cœur semble battre à tout rompre, sa poitrine tendue semble appeler les caresses plus que mon savoir professionnel. Elle se raidit, je touche son dos du torse, mon nez si proche de sa nuque je respire sa fragrance délicieuse, emmêlée de l’odeur de sa peau. Ses cheveux frisottent autour de la peau tendre du cou, et une oreille me nargue ; petite et joliment dessinée, elle est un peu décollée, le lobe délicat m’attire irrésistiblement mais je poursuis néanmoins mon examen méthodique pour oublier le désir qui enflamme mes sens. Je la fais se retourner, continue de tâter doucement mais fermement, elle reste silencieuse, inquiète peut-être de mon sérieux. Je descends mes mains de part et d’autre de sa taille, passe dans le dos, elle se cambre contre moi sous la surprise, je lui demande de rester droite pendant que je m’en vais quérir sa colonne vertébrale, enlaçant son corps comme le ferait un amant. Elle respire plus vite, se raidit, je lui souffle de se détendre, elle répond dans un murmure qu’elle en est incapable. Je plonge mes yeux dans les siens et ne peux que constater son propre désir, sa bouche petite et charmante, si rieuse tout à l’heure est ...
    ... un peu entrouverte et comme en attente, elle détourne les yeux, confuse et comme surprise de la tournure de notre rencontre. Je reprends mon rôle, sa douleur est bien réelle, elle a les muscles noués et elle a un léger "débalancement" des hanches comme pour porter son poids sur une jambe pour s’éviter toute douleur. C’est visible pour moi mais quasiment indétectable pour tout novice. Je lui demande quelques autres renseignements quant à ses douleurs au bas ventre. Elle m’indique quel type, je lui demande de retirer son pantalon puis de s’allonger, je vais lui faire un examen plus approfondi pour vérifier si le mal n’est pas lié ou plus grave qu’une simple mauvaise posture. Elle abdique, se détourne de nouveau, je vais dans la salle de bains, me lave les mains avec méthode, les essuie avec une serviette propre en revenant jusqu’au lit, elle s’y est allongée, un peu raide, comme toute patiente qui doit subir une visite plus intime. Je l’observe en continuant de cueillir les gouttes d’eau avec l’éponge douce. Ses cuisses amples s’étalent souplement, sa nuque est calée dans un coussin, elle a posé machinalement ses mains bien à plat sur son ventre. J’égare mes yeux plus bas, son pubis bombé recouvert d’une fine toison brune, bouclée, soyeuse, qui brille dans la clarté douce de la lampe à la tête du lit. Je ne reviens pas sur terre, cette fois, j’aimerais enfiler mes doigts entre les boucles de velours qui laissent apercevoir la peau en dessous, petite forêt indécente et pourtant ...
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