1. Emma, déesse de Paris (2)


    Datte: 28/04/2019, Catégories: Hétéro

    Bonsoir encore ! C’est votre miel. Sans vouloir être trop cavalier j’aimerais beaucoup que vous commentiez même pour ne donner qu’un vague avis. Je suis trop nouveau dans le site et j’ai envie de savoir comment mieux vous plaire et vous intéresser sans sombrer dans les grands types vendeurs et trop lus du site 😊 Les mains affamées de sa partenaire ravageaient les hanches de la belle rousse. Écrasée contre la rambarde de son petit appartement parisien elle se faisait prendre des deux côtés par le froid du métal et par la chaleur du vibromasseur qui lui emplissait le cul. Cela faisait facilement deux heures qu’elle ne sentait plus ses fesses qui, pourtant bombées d’habitude et beaucoup trop appétissantes, étaient cachées par les traces de griffures, de morsure, par la cire et par les bleus. C’est simple, cette petite étudiante en littérature, en troisième année à la sorbonne avait le plus beau cul du centre, le plus visité peut-être aussi. Et ses nombreuses conquêtes en faisaient un atelier pour tous les vices du genre humain. La fille derrière Emma avait les yeux révulsés, ses cheveux en chignons sombraient de tous les cotés et ses jambes flagellaient tant que les hanches de « Feu » étaient tout ce qui restait pour la maintenir droite. Ses coups de butoir étaient si violents que Camille avait parfois le souffle coupé à marteler l’anus de sa maîtresse. Quel plaisir elle prenait aussi à enfoncer une fille bien plus jeune et plus belle qu’elle. Son mari aurait tué pour se la ...
    ... faire, son fils aussi, même son père. Elle compensait tout l’échec de sa pauvre vie en explosant la minette qu’elle aurait dû être mais qui, même maintenant sous ses mains, lui échappe. Car Emma vérifiait son Instagram. Elle avait renoncé à se toucher depuis longtemps et attendait non sans hâte que le soleil se lève. Pour que sa prof de philosophie puisse rentrer chez elle. Qu’elle ait enfin le 20 promis au prochain devoir. Tiens ? Les coups ralentissent, alors elle s’évanouit ou elle jouit ? Aucun des deux, Camille pleurait de déception, sa conquête, cette perfection qu’elle avait réussi à approcher l’abandonnait. La distance qui les séparait n’avait donc eu cesse d’exister, même en elle, elle restait faible et sans avenir. Emma se retourna doucement et choisit le comportement adéquat pour gérer la crise. Dépendant des gens et de leur colère quand ils comprenaient que « feu » s’en foutait d’eux, elle avait un arsenal entier de réactions. Allant des pleurs à la fellation, passant par la colère et l’amour fou. Elle savait tout faire croire pour que sa victime parte contente ou au moins redevable. Ainsi elle réussissait partout, études, emplois, on acceptait de la publier elle et ses poèmes dans tout plein de journaux plus et moins visibles. Elle se rendait dans des grandes fêtes et Gallas ou elle prenait des victimes encore plus influentes et donc intéressantes. Elle se remémora ses sauteries dans les hôtels avec des grands chefs cuistots, les levrettes dans les jacuzzis des ...
«1234»