1. Emma, déesse de Paris (2)


    Datte: 28/04/2019, Catégories: Hétéro

    ... palaces, les pipes dans les ascenseurs à la défense, les sodomies dans les avions. Tout et partout était prétexte à se faire défoncer par ses nombreux porte monnaies, ses passe libre accès aux divers mondes de la capitale. Jamais on n’avait refusé ses échanges. Elle s’en était d’ailleurs étonnée, on la désirait autant dans les mondes les moins aisés que dans ceux où pullulaient les top-modèles. Elle était toujours la plus belle. Donc autant en profiter, non ? Ce soir tout se passa pourtant différemment. Emma avait simplement à se laisser souiller par Mme Deneuffre pour assurer ses partiels, pourtant quand elle la rassura tout empira -Madame je ne comprends pas, je ne comprends plus… susurra Emma en tentant de s’approcher de Camille. Je croyais que vous m’aimiez… -Mais pourquoi me fuis tu ma jolie, je t’aime, et je cherche à te faire du bien et tu me fuis ? Ces paroles furent accompagnées de gros sanglots et de reniflements, Camille Deneuffre ne pouvait se contenir. -Mais oui, Mais oui… Mais mon frère a de gros problèmes, et je ne voulais pas couper court à votre exaltation avec mes tracas… Emma cherchait maintenant à se lover contre la dame de près de 20 ans son aînée. La professeure ne répondit pas, et alors que la honte déferlait de ses joues elle croisa les bras. Inconsolable. Emma se sentit tout d’un coup très lassée face à cette connasse et recula de deux pas. Si le mensonge ne marche pas du premier coup, autant en finir. Emma récupéra furtivement ses cigarettes sur le ...
    ... rebord de la fenêtre. Puis tendit ses lèvres vers sa victime et lui enfourra sa langue dans la bouche en la poussant doucement vers le bord. Camille, surprise, répondit assez tard mais intensément à cette promesse sulfureuse. Elle saisit les seins menus mais fermes de la demoiselle, colla sa jambe encore tremblante entre celles plus solides, presque glacées de « feu », la déesse de Paris. En cherchant à l’atteindre une ultime fois. D’ailleurs la déesse débordait d’érotisme, ses mains fouillaient le fruit trempé et actionnaient tous les leviers possibles du plaisir, le clitoris était à la fois pincé et tordu. Elle écartait les grandes et petites lèvres des quatre autres doigts. Son autre main tirait et pressait les seins plus tellement fermes de Mme Deneuffre et lui tirait de grands soupirs d’être enfin le centre d’intérêt du monde. Camille se reposait contre la même rambarde froide quand Emma enfonça pour la dernière fois ses longs cheveux roux dans ses clavicules fébriles. Camille sursautait et se vidait silencieusement de tout son être, elle se sentait pleine, belle et utile, Emma aura sa note, du moment qu’elles peuvent recommencer. -Oh Emma… Je t’aime tant, tu es l’unique… Mais dis-moi que je suis la seule, celle qui te convient le mieux, celle que tu aimes… Un court silence pesant força la quadragénaire à répéter sa demande -Emma, dis-moi que tu m’aimes. J’ai peur ma chérie. Je ne veux pas te partager, plus jamais… Je quitterai mon mari et cette famille de cons et laids ! ...