1. Telle paire... tel fils. (1)


    Datte: 23/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et j’ai eu mon fils très jeune. Sa mère s’est barrée avant qu’il ait un an. C’est ce qui nous a rapproché avec le papa d’Arnaud à qui il est arrivé la même chose. Ni lui ni moi ne nous sommes jamais remariés... chat échaudé... On s’est toujours soutenus pour élever nos fils, l’un aidant l’autre. Ils sont comme deux frères alors vous tombez bien mal ! ... et puis, à mon âge, on a encore des besoins. Je passe beaucoup de temps sur la route et les soirées sont longues, alors je les occupe comme je peux... d’où cette clef USB. J’ai élevé mon fils comme j’ai pu. Il ne boit pas, ne fume pas, ne se drogue pas et je lui ai enseigné à ne jamais faire violence à quelqu’un. Ce n’est certes pas pas un grand travailleur et je lui en fais souvent le reproche. Quant à la sexualité, il a bien fallu que je fasse son éducation. Je lui ai appris des choses et nous sommes très complices. Il ne fait pas les choses en cachette. Tant pis si cela vous choque. Je ne croyais pas mettre mon fils chez les curés en l’inscrivant ici. Je reconnais qu’il n’avait pas à sortir sa bite en cours mais sa professeur n’a pas non plus à exhiber ses nichons ou son cul devant des jeunes. C’est tout ce que j’ai à dire. Le long monologue de mon père a été prononcé d’une traite, à toute vitesse, sans laisser le temps à l’autre abruti de répondre. Quand papa a fini, le vice-protal a ajouté : - Croyez bien Monsieur qu’on n’en restera pas là. - Donnez-moi les coordonnées de cette prof et nous lui présenterons des excuses. ...
    ... Jules ne recommencera pas. N’est-ce pas mon grand ? - Promis p’pa. - Je doute que Madame Légoustane-coronesse ait envie de vous voir... pas avant le conseil de discipline en tout cas ! La menace est la dernière cartouche du pauvre fonctionnaire. - Il n’y aura pas de conseil de discipline. Je vais inscrire mon fils ailleurs. Avant de vous quitter, je considère que tout ce qu’il s’est dit ici, particulièrement quant au camarade de mon fils, Arnaud, est strictement confidentiel et relève pour vous du secret professionnel. S’il y a une fuite je vous attaque en justice. Bonsoir Monsieur ! Et nous sortîmes. Dans la voiture papa me dit : - Quand même, t’aurais pu faire attention. Tu dois apprendre à maîtriser tes pulsions. ça pouvait pas attendre ? T’es plus un bébé tout de même. - J’te jure p’pa je pensais pas qu’elle me verrait. C’était plus fort que moi ! Si tu voyais comment elle est pulpeuse. Elle ferait bander un mort. - Je sais, tu m’as déjà dit. Et Arnaud, il avait aussi la bite à l’air ? - Non... trop timide...et puis la prof l’aurait pas loupée non plus... - C’est vrai... Il est très bien monté aussi... ça serait pas passé inaperçu. - J’t’assure qu’il bandait aussi hein. Si elle y avait regardé de près, elle aurait bien vu la bosse sous son futal. Mais il se marrait tellement. - Il faudra lui dire qu’on a tout débalé au vice-protal et à Mathieu aussi. - Tu vas leur téléphoner ? - On va passer les voir, c’est mieux. Il y eut un long silence pendant lequel je me demandai où ...
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