1. La soumission


    Datte: 29/04/2019, Catégories: fh, hotel, fsoumise, hdomine, contrainte, Masturbation facial, Oral 69, pénétratio, sm,

    Le lendemain, je sortis du boulot largement en avance, vers les trois heures comme il me l’avait demandé. J’avais mon sac, cette fois ! Je le posai dans le coffre de la voiture et il m’emmena dans un magasin de lingerie, car je n’avais guère que des collants. David m’avait offert des tas de bas, porte-jarretelles… dont il était friand, mais je les avais jetés après son « plaquage ». Nous achetâmes des bas résilles avec une large jarretière en dentelle, une jolie petite culotte en dentelle assortie et une guêpière en résille qui ne maintenait rien, mais qu’importe, cela suffisait à mettre en valeur mes petits seins. Toute cette lingerie était de couleur noire. Nous prîmes l’autoroute direction Cabourg. On s’installa dans un hôtel assez classe et il prit une douche avant que je ne prenne un bain. Je pensais qu’il allait m’y rejoindre, mais il attendait le soir pour déclencher les hostilités. Il s’était habillé très classe (veste et cravate chic, qu’il avait amenées dans une valise où je vis aussi des cordelettes…). Je mis mes dessous et en constatai l’effet à une bosse sous son pantalon. Je mis un chemisier noir très joli avec une jupe très courte rouge flash. J’avais un blouson assorti (rouge) et bien sûr un rouge à lèvres assorti. J’étais plutôt sexy mais la longueur de la jupe était à peine suffisante pour cacher les jarretières. On était en mai, il faisait très beau et nous dînâmes de homard et de champagne ! Après : balade au bord de l’eau avec « roulage de pelles » à qui ...
    ... mieux mieux. Cela ressemblait plus à une sortie en amoureux qu’à une séance de soumission absolue. Retour à l’hôtel vers minuit, avec changement de régime dès la fermeture de la porte de la chambre. — Déshabille-moi. Son regard était terrifiant, c’était celui d’un prédateur pour sa proie et j’en eus un frisson de peur. Jamais je n’avais croisé un tel regard et je me demandai si je n’avais pas accepté à la légère d’être la proie. En même temps, cela m’excitait et la soirée au restaurant m’avait déjà bien mis le feu au cul. Je le déshabillai lentement. Ah ! son torse nu et son ventre tout plat ! Celles qui n’ont jamais eu d’homme sans ventre n’imaginent pas ce que c’est. Ne pas sentir un ventre gras collé à ses fesses quand on est prise par derrière, caresser des abdominaux durs… j’en rêve encore, je l’avoue. Je me suis baissée alors pour retirer son pantalon et son slip. J’étais accroupie devant son sexe en érection et je m’attendais à ce qu’il me demande quelque chose. Au lieu de cela, il me fit ranger ses vêtements et me demanda de lui faire le plus beau strip-tease que je n’avais jamais fait. Il bandait déjà bien avant que je ne commence par enlever mon blouson, puis mon chemisier en lui tournant d’abord le dos pour le laisser descendre sur mes épaules. Je me retournai alors pour qu’il admire mon buste sous la résille de ma guêpière et défis la fermeture sur le côté de ma jupe. Je me retournai à nouveau le temps de faire descendre lentement ma jupe le long de mes cuisses en ...
«1234...»