La soumission
Datte: 29/04/2019,
Catégories:
fh,
hotel,
fsoumise,
hdomine,
contrainte,
Masturbation
facial,
Oral
69,
pénétratio,
sm,
... du genre à ne pas me laisser faire par un macho mais là, je restai soumise et suçai du mieux que je pouvais. Que voulez-vous ! j’étais amoureuse, et excitée de surcroît. — T’en as recraché, la première fois avec David ? Je répondis oui avec la tête. — Non seulement jamais un mec, même pas David, ne t’a mise à genoux, mais en plus tu vas faire ce que fait une femme soumise quand son homme jouit dans sa bouche : avaler tout. Tu sens comme je te domine ? Tu suces, t’es une bonne soumise, hein ? Et il me demandait d’acquiescer à chaque question par un hochement de tête. Lui d’habitude si long à éjaculer ne mit que quelques minutes, qui me parurent pourtant une éternité, ponctuée par des propos salaces du genre de ceux que je viens d’écrire. Je fus prévenue par un : — Avale et recrache rien. C’est avec la troisième giclée que j’eus le plus de mal. Je n’avais pas réussi à avaler toute la seconde et là, je me sentis débordée, prête à vomir. J’ai réussi malgré tout et aussitôt après les spasmes de sa jouissance qui s’accompagnèrent d’un long cri rauque, il me dit : — Continue à sucer doucement, c’est le meilleur, et fais tout couler dans ta bouche pour avaler ce qui reste, femme soumise. Je m’exécutai sans rien dire, au bord du dégoût. Je sentais que cette scène avait accru l’humidité de ma petite culotte ; j’étais trempée de désir. — Tu suces comme une pro. Je m’en rendais compte : l’excitation, l’humiliation et le dégoût décuplaient mon ardeur « fellatrice ». Il s’extirpa de ma ...
... bouche lorsqu’il commença à débander, ce qui prit encore quelque temps, et m’ordonna de m’allonger au bord du lit et d’écarter les cuisses. — Tu vas te laisser sucer et masturber sans chercher à te soustraire à mes caresses, on n’est plus chez toi, tu peux crier tant que tu veux sans craindre les réflexions de ta grand-mère. Il me roula une pelle qui atténua un peu le goût du sperme et s’agenouilla au bord du lit. En écartant ma culotte sur l’état de laquelle il fit une remarque, il me suça le clitoris. J’ondulai sous cette caresse qu’il accompagna bientôt de deux doigts dans mon vagin. Ils trouvèrent instantanément mon point G, alors qu’auparavant, jamais je n’avais été convaincue de son existence. C’était à la limite du supportable. Il m’ordonna de tenir mes cuisses avec mes mains et de cesser de gigoter. Je devais jouir et obéir, selon ses propres termes. Cela devint terrible, j’avais des contractions comme si j’allais enfanter. J’ai eu un orgasme tellement violent que mon bas-ventre se souleva sous l’effet des contractions pendant que mes cuisses se resserraient. J’avais désobéi et je fus punie : il se plaça alors à califourchon sur moi et me força à sucer son sexe, encore mou et gluant, tout en me tenant par les poignets. — Chaque fois que tu désobéiras, il faudra sucer pour te faire pardonner, et chaque fois que tu auras un orgasme, il faudra sucer pour remercier. T’en as eu un ? Je fis oui de la tête. — Chaque fois que tu auras un orgasme, tu me le diras, je veux aussi ...