La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1267)
Datte: 22/06/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... passé avec Lui où il m'avait attaché, flagellé et baisé à m'en faire jouir encore et encore restera en moi mémorable. Ce collier n'avait rien d'une couronne, mais était le verrou de cette cage dorée qu'était ce Château où il m'offrait à vivre avec lui dans la soumission et servitude de Ses envies, exigences et plaisirs... Et par la même occasion des miens. Au lieu de cogiter autant, j'aurais dû éteindre mon cerveau et me laisser uniquement guider par la chaleur qui sourdait à nouveau entre mes jambes mais aussi par l’intuition qu’en cette Demeure, se trouvait mon bonheur. J'aurais dû prendre ce collier tout de suite, plutôt que de le laisser là, ayant le sentiment de ne pas le mériter... De n'être pas prête à abdiquer et à m'offrir pleinement aux Exigences de Monsieur le Marquis d'Evans…. Cacher entre l'entre-deux, du monde des vivants et des limbes, le Noble m’observant, moi qui était magnifiquement et totalement dénudée, portant encore les marques de Ses premières corrections, moi en train d'admirer Son présent, ce magnifique collier tellement historique et symbolique, et Lui dans l'impatience de me voir le prendre et le porter à mon cou. Comme jadis nombre de Ses esclaves qui le servaient en Son Château, sans pudeur bien que tous nus, portant fièrement leur collier, preuve inconditionnelle de leurs acceptations et désirs de le servir le mieux possible. Malheureusement, Il fut peut-être surpris de me voir, moi la petite Carole, refermer la boite, faisant semblant de ...
... chercher quelque chose dans la pièce sans succès apparemment avant de m’en retourner dans ma chambre pour réfléchir... Trois jours... Monsieur Le Marquis m'avait accordé trois jours de réflexion. Alors que déjà, je me sentais mal et totalement perdue. Non pas parce que je n'avais pu retrouver mes vêtements, mes chaussures et mon portable dans le petit salon, mais bel et bien du fait de l'absence du Châtelain durant ces trois journées. Déjà, il me manquait. Étais-je donc aussi sotte que les filles décrites dans ces films d'adolescents qui se retrouvent à déprimer parce que le garçon de leur rêve ne les a pas rappelées. Pourtant, c'était le cas, même si je n'étais plus une gamine depuis longtemps, j'agissais comme si s'était là mon premier flirt. Indirectement, j'en voulais à Monsieur le Marquis d'Evans, de m'avoir permise de vivre ce conte des Mille et une nuit dans Son Château, de m'avoir permise de découvrir ses écrits et son monde Ds/bdsm, jusqu'à pouvoir vivre réellement cela avec Lui. Car maintenant, que j'avais goûté au plaisir délicieux de la soumission et aux jouissances suprêmes que pouvait me donner le Noble... Comment pouvais-je retourner à ma vie ennuyeuse d'avant ! Pourquoi dans ce cas, si la réponse était claire, hésitais-je autant ? Il me vint le besoin dans parler avec quelqu'un... sauf que sans mon téléphone portable, j'étais bien en peine. Mon regard se tourna alors vers la sacoche avec mon PC portable. Si la connexion internet était possible ?, me dis-je. Et ...