Mise en scène
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
voisins,
telnet,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
ecriv_f,
... des gifles percutant mes fesses. Le temps suspendu pendant qu’il me punit, le compte à rebours qui s’égrène dans ma tête. Puis, les yeux fermés, je ne pensais qu’à une chose, ne pas gémir, ne pas me plaindre. À la vingtième claque, il s’est arrêté sans rien dire, sa main retombée près de lui. J’ai mis plusieurs secondes avant de comprendre que c’était fini et qu’il se contentait de me mater. Je me suis laissée choir sur le sol, à genoux, j’ai rajusté ma robe de chambre, puis je me suis levée. Il s’est levé lui aussi, on s’est dévisagé, j’ai baissé les yeux la première. Il s’est mépris sur cette attitude. Il a touché ma joue de ses doigts. Je me suis esquivée prestement, en le dévisageant. — « J’ai été correct avec vous, je crois. Je ne vous ai pas brutalisée. » Il a attendu une réponse que je n’avais pas. Il a lu dans mon regard un mélange de dégoût et d’humiliation. — « Ne le prenez pas mal, mademoiselle. Vous savez, si vous avez des problèmes d’argent on peut trouver un arrangement. » Il a affiché un sourire qui se voulait conciliant mais qui trahissait la concupiscence. — « Bonsoir monsieur Roger ! » Il s’est incliné prestement. — « Bonsoir mademoiselle Montès. » Il a quitté l’appartement et refermé la porte derrière lui. Ce matin j’ai trouvé un moment pour appeler ma banque. Je veux me libérer de l’asservissement dû à mon propriétaire. Il me faut faire le point et trouver le moyen de régler ce loyer. La vérité, c’est que je peux faire le chèque dès aujourd’hui, mais que ...
... le reste du mois sera difficile. Cette voiture achetée d’occasion il y a 8 mois maintenant me coûte trop cher, je le sais bien. Mais je voulais une bonne voiture et puis j’ai voulu la payer en 3 ans plutôt qu’en 5, résultat depuis que j’ai ce crédit sur le dos, je galère. Tant pis, je passerai ce soir chez lui et je lui ferai le chèque, ce sera réglé. Je monte les marches en lisant mon courrier. La porte s’ouvre au moment où j’arrive sur son palier. Je m’arrête, on se dévisage. Un curieux malaise s’empare de moi. Il reste sur le pas de la porte et me demande : — « Vous avez quelque chose pour moi ? »— « Non ! » J’ai dit cela sans réfléchir, d’une voix étranglée. Il parle de son chèque, pourtant je l’ai là, dans mon sac, rédigé à son nom au centime près. — « Veuillez entrer s’il vous plait ! » Il sort sur le palier et s’efface de l’encadrement tout en barrant l’accès à l’étage supérieur. Je suis comme tétanisée, je pénètre chez lui au ralenti. Je sens sa paume sur mon épaule. Il a refermé la porte derrière nous. Il me guide vers le salon, s’arrête devant le canapé. Je peux encore sortir ce que je lui dois, mais je me contente de baisser la tête en attendant la suite. — « Relevez votre jupe et baissez votre culotte ! » Je tourne la tête prestement vers lui, nos regards se croisent. Je dois avoir l’air effrayée, il ajoute conciliant : — « A moins que vous ne préfériez juste vous mettre nue, dans ce cas je me contenterai de vous regarder ! » Je détourne la tête. Je reste prostrée ...