Mise en scène
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
voisins,
telnet,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
ecriv_f,
... un instant, imaginant deux alternatives, plonger la main dans mon sac ou me dévoiler. Finalement je laisse choir le sac à main et je retrousse ma jupe. Il s’est assis sur le canapé, il me regarde sans aucune gêne. Je fais rouler ma culotte sur mes cuisses, il lorgne ma chatte à présent. — « Vingt claques et c’est tout ! »— « Oui, rien de plus. » Il m’invite à prendre place en travers de ses genoux. Il relève un peu plus ma jupe. Je suis entre ses mains, son jouet. Il pince chacune de mes fesses entre le pouce et les autres doigts, ce n’est pas prévu dans le contrat et cela lui permet de flirter avec le sillon. J’émets le début d’une protestation, ses claques tombent alors avec force. Il me fait mal durant la première moitié de la punition, volontairement, jusqu’à ce que je proteste à nouveau. Alors la fessée devient plus douce, plus lente et il se met à parler, comme un long monologue, entrecoupé de claques qui se prolongent en caresses. — « Quand je vous disais que j’avais été gentil hier soir ! - Je peux vous faire voir ce qu’est une vraie fessée si vous y tenez ! – Vous avez tort de ne pas me laisser vous regarder ! – Je ne manque pas d’argent, vous pouvez ne me payer le loyer qu’un mois sur deux si cela vous arrange. – Si vous ne payez pas ce mois-ci, ce sera plus facile le mois prochain. – Avec un corps comme le vôtre vous pourriez régler bien des problèmes. – Vous ne voulez me montrer que votre cul, si vous acceptiez de tout me montrer, vous ne seriez même pas obligée ...
... de passer tous les jours, et si je pouvais vous toucher… » Il ne dit plus rien. Les claques se sont arrêtées, sa main caresse mes fesses presque tendrement. Je n’ai pas compté, j’écoutais ce discours abject. Il me propose ni plus ni moins que de faire la pute ! Je me dégage, il me laisse me relever à regret, en laissant sa main traîner sur moi. Il me raccompagne jusqu’à la porte et me conseille amicalement avant que je ne sorte : — « Réfléchissez, mademoiselle Montès, vous avez beaucoup à gagner ! » J’escalade l’étage en courant, sans répondre. — « Vous êtes en retard, Victoria ! »— « J’ai failli ne pas me connecter. »— « Mais vous êtes là. Etes-vous nue ? »— « Non. »— « Faites-le ! »— « Non ! »— « Mettez-vous nue, c’est la règle lorsque vous vous connectez avec moi ! » Il a raison. Je me sens perturbée, mais après tout rien ne m’obligeait à venir. — « Je suis nue ! »— « Racontez moi ce qui ne va pas. »— « Je ne veux pas être la pute de mon voisin du dessous ! »— « Pourquoi le seriez vous ? » Je lui raconte toute la scène. Je lui avoue que j’ai pleuré en me retrouvant seule chez moi. Je le traite en confident, je n’ai personne à qui parler de cette histoire, pourtant c’est bien à cause de lui que je m’y suis mise. — « Pourquoi ne mettez-vous pas un terme au contentieux en le payant ? » Le chèque que j’avais préparé et que j’ai toujours dans mon sac. Est-ce que je dois parler de cela aussi ? — « Je l’avais, le chèque… mais je ne le lui ai pas donné. »— « Alors c’est différent ! ...