Mise en scène
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
voisins,
telnet,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
ecriv_f,
... consciente du mouvement de lourd ballottement infligé à ma poitrine lors de ce geste. Je viens de poser ma culotte sur la table, je suis nue, face à lui. Je me sens vulnérable et convoitée. Il s’assoit au milieu de la pièce sur une chaise. Il me demande de tourner lentement sur moi-même. Parfois il me demande de m’arrêter, de lever un bras ou les deux, de relever la tête. Puis il me fait immobiliser, dos à lui, les jambes légèrement écartées. — « Mettez les mains sur la tête ! » Il s’approche, tourne autour de moi en prenant son temps. Il s’arrête face à moi. Son visage exprime une autorité forcée, il souhaite tellement que je sois à ses ordres. — « A quelle périodicité comptez-vous passer me voir ? Pas plus de trois jours d’intervalle de toutes façons ! »— « Alors trois jours ! »— « Cela voudrait dire que nous ne nous revoyons pas avant lundi soir. Vous allez me manquer ! » Je le regarde par intermittence, je ne réponds pas. Il caresse ma joue, je baisse les yeux, je sens que les larmes viennent. Sa main descend dans mon cou, puis sur l’épaule. Il se remet à tourner, sa main reste sur moi, elle se trouve entraînée par le déplacement de son corps. Elle passe sur mes seins, lissant les contours rapidement, effleurant les pointes. Il passe derrière moi, l’autre main se pose sur une hanche, puis caresse les fesses. Il se tient contre moi à présent, je sens son gros ventre qui frotte mon dos. Ses mains sont passées sur mes flancs, libérés par la position de mes bras, relevés ...
... au-dessus de la tête. Il prend possession de mes seins avec ses deux paumes. — « Vous êtes tellement envoûtante. J’aimerais tellement que nous nous entendions. » Des larmes coulent sur mes joues pendant qu’il joue patiemment avec mes seins. Je ne sais pas combien de temps je vais devoir supporter ces attouchements. Je n’ose rien dire parce que je ne veux pas qu’il perçoive la détresse dans ma voix. Il joue de longues minutes ainsi, mes larmes se tarissent petit à petit. Puis il recule un peu et, sans gêne apparente, il passe ses doigts entre mes cuisses pour s’en venir constater la température de ma vulve ! J’ai honte qu’il s’aperçoive ainsi de l’effet que la scène a eu sur moi. — « Je vous en prie, monsieur Roger, n’abusez pas, je suis pressée ! » Il revient face à moi, le sourire triomphant, en train de masser doucement entre eux les bouts de ses doigts qui se sont imprégnés de mes secrétions. — « Je vais vous libérer, charmante demoiselle, mais vous me devrez du temps lundi. » Je ne relève pas l’allusion. Je me précipite sur mes vêtements que j’enfile à la hâte. Cinq minutes plus tard je suis chez moi, sous la douche. J’engloutis le gros sexe tendu et chaud dans ma bouche mouillée de gourmandise. Je m’applique à le pomper par de longs mouvements de va-et-vient qui engagent le gland à l’entrée de ma gorge. Je suis à genoux devant lui, il ne m’a laissé que ma culotte. Mes poignets sont entravés par une paire de menottes qui les lient derrière mon dos. Il a prétendu que mes mains ...