1. Mise en scène


    Datte: 30/04/2019, Catégories: fh, hplusag, voisins, telnet, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fouetfesse, ecriv_f,

    ... la séance. »— « L’exposé de monsieur Roger ne vous suffit pas ? Je ne veux plus continuer Servigo, nous avons été trop loin déjà. »— « Vous ne pouvez plus stopper, Victoria. Croyez-vous que votre propriétaire va accepter de ne plus toucher votre corps maintenant qu’il y a pris goût ? »— « Mais quel est votre but ? Dites-moi au moins cela ! »— « Vous amener à vivre vos fantasmes, vous diriger vers ce qui vous tente mais que vous n’oserez jamais assumer. »— « Alors pourquoi ne pas vous montrer et devenir l’acteur principal ? »— « Je suis le metteur en scène, le réalisateur. Je suis celui qui décide du déroulement de l’histoire, c’est beaucoup plus grisant. »— « Je ne vous suis pas, je ne vous comprends pas. Vous devez être très malade ! Je ne veux plus jouer dans votre film ! »— « Croyez-vous que vous montrer nue et vous laisser caresser est une compensation suffisante à un loyer ? A combien estimez-vous la valeur de votre corps ? »— « Vous me faites jouer la pute ! Je ne veux plus de ce rôle ! »— « Il n’y en a pas d’autre. C’est votre rôle, il est écrit pour vous. Je vous fournis le partenaire et l’excuse pour accepter de céder à ses avances. Il ne vous reste plus qu’à composer la jeune femme honorable, offensée par les circonstances mais incapable de résister à son attirance pour les hommes d’âge mûr un peu trop protecteurs ! » Le salaud ! Il me connaît si bien ! — « C’est bien cela Victoria, n’est ce pas ? » Je ne veux plus me déconnecter, je ne sais pas quoi répondre, je me ...
    ... contente de le lire. Nue devant mon écran, j’ai envie de me caresser. — « Je trouve qu’il a été bien gentil de vous accorder 3 jours de répit après le traitement soft de vendredi. Vous irez le voir chez lui, demain, comme convenu. Vous vous déshabillerez entièrement et vous lui direz que vous lui appartenez pendant une heure ! »— « Vous avez bien compris Victoria, vous lui appartiendrez pendant une heure ! » J’ai ouvert mes cuisses, mes doigts parcourent ma vulve lentement, retardant le moment où l’un d’eux se glissera dans l’espace humide et lubrifié qui conduit à la jouissance. — « Répondez-moi ! » Je murmure « oui » plusieurs fois. Oui à Servigo ! Oui à monsieur Roger qui me demande déjà d’être à lui ! Oui à mon plaisir qui va naître de l’action experte de mes doigts. — « Oui, je serai à lui ! »— « Bonne nuit Victoria, nous avons rendez-vous mardi soir à 21h. » Servigo a quitté le chat ; ping time out ! Je me répète une dernière fois, en montant les escaliers, l’attitude que je dois avoir en arrivant chez mon voisin. Je suis une jeune femme aux abois, blessée dans son amour- propre, qui n’a pas d’autre choix que d’accepter les outrages ignobles imposés par un homme sans scrupules, qui feint la charité. La seule façon de vivre cette scène me semble être la froideur, le détachement. Je dois paraître insensible à tout ce qu’il me demandera. Il n’est pas sur le palier, il n’a pourtant pas dû oublier que je passe le voir. Je sonne, deux coups brefs. Je l’entends qui traîne des ...
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