Mise en scène
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
voisins,
telnet,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
ecriv_f,
... pieds dans ses vieilles pantoufles, derrière la porte. Il ouvre, il porte un pantalon de survêtement bleu et un maillot de corps blanc. Je ne l’avais jamais vu habillé comme cela. — « Bonjour, monsieur Roger, vous faites du sport aujourd’hui ? » J’ai dis cela d’un ton détaché, amical, avec un petit sourire passe-partout. — « Bonjour, mademoiselle Montès, ah non ! Ce n’est plus de mon âge. » Nous sommes dans l’entrée, pendant qu’il referme la porte, j’ôte rapidement ma veste que je laisse choir à mes pieds. Puis je me débarrasse de mon pull et de mon débardeur. Il observe et n’ose rien dire. Il semble se taire comme devant une apparition surnaturelle, dont il craindrait la disparition pour un geste ou une parole malencontreuse. J’endure son regard, cependant que je dégrafe mon soutien-gorge et laisse apparaître mes seins. Je perçois sa déglutition difficile à la vue de ma poitrine. Je déboutonne mon jean que je fais glisser sans précaution, en même temps que ma culotte, le long de mes jambes. Penchée en avant, dans une position peu commode, je délace mes baskets que je retire une à une en sautillant sur place. Je termine de me dénuder, puis je me redresse et déclare d’une voix neutre : — « Voilà, je vous appartiens pendant une heure ! » Il s’avance vers moi en ployant le cou, comme si cette déclaration l’assommait. Il pose la main sur mon épaule et me fait passer devant lui. — « Venez, ne restez pas là ! » Il laisse sa main sur mon épaule pour me guider, l’autre effleure ...
... plusieurs fois mes fesses. Je suis au milieu du séjour, il me guide jusqu’à la table. — « Posez vos mains. » Les deux paumes sur le bord de la table, il me fait reculer les pieds, ouvrir les jambes et cambrer les reins. Il fait ensuite le tour de la table, afin de me contempler sous plusieurs angles. — « Vous m’appartenez pendant une heure, c’est bien cela que vous avez dit ? » Mais il ne me laisse pas le temps de répondre. — « Il est presque 20 h, je ne vous lâche pas avant 21 h, même si j’ai joui auparavant ! » Il ne fait aucun mystère de ses intentions. Reste à savoir comment il compte jouir de moi. Je sais peu de choses sur monsieur Roger, sinon qu’il a une passion pour les voitures. Il s’est acheté un puissant 4X4 quelques mois auparavant et il me vient cette comparaison à l’esprit quand je le vois tourner autour de moi. Il effleure ma ’carrosserie’, vérifie ’l’allumage de mes phares’ en effleurant mes tétons, s’assure de la ’robustesse de mon siège’ par petites claques répétées et vérifie soigneusement la progression de la température ’du moteur’ ! Comme tout nouveau possesseur de voiture, une fois familiarisé avec les commandes, le conducteur s’enhardit. Je le surprends à me tutoyer : — « Tu es une belle femme, une belle garce ! Monte sur la table, mets-toi à quatre pattes que je te voie bien ! » Cet accès de familiarité me désarçonne, je perds mon fil de conduite : l’indifférence. Je le regarde par-dessus mon épaule, m’apprêtant à commenter ce tutoiement, mais par quelques ...