1. Mise en scène


    Datte: 30/04/2019, Catégories: fh, hplusag, voisins, telnet, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fouetfesse, ecriv_f,

    ... fesses de son ventre et flagellant mon clitoris de ses testicules. Sa respiration est sifflante, je perçois ses profondes inspirations nasales, comme s’il était en train de courir un marathon. J’ai joui plusieurs fois déjà, quand lui a du mal à faire aboutir son éjaculation. Libérée de tous faux-semblants, complaisante et effrontée, je passe une main entre mes cuisses pour attraper ses lourdes valseuses. Ce geste agit comme un déclencheur. Ses mouvements se font plus saccadés et l’approche de la jouissance l’incite à articuler : — « C’est vrai que tu aimes ça ! Oh, bon dieu ce que c’est bon ! » Puis, peut-être pris d’une inspiration soudaine, à moins qu’il ne profite de ce moment particulier pour exprimer une image qui l’obsède : — « C’est vrai, dis… ! C’est vrai que tu le laissais baisser ta culotte quand tu avais 18 ans ?! » Tout se déchire soudain. Cette petite phrase lâchée à cet instant, outre le fait qu’elle lui permet de libérer sa semence pour la deuxième fois en moins d’une heure, me permet à moi de savoir qui est Servigo ! Il est 21 h et quelques minutes, monsieur Roger est étendu sur le côté, il a le visage contre mes seins. Je suis blottie contre lui, des larmes coulent doucement sur mes joues. J’ai besoin de parler, de partager ce fardeau que j’avais laissé loin derrière moi et qui vient de reprendre place sur mes épaules. Je commence d’une voix cassée par l’émotion : — À 18 ans, je vivais encore en Espagne, dans une petite bourgade à 100 kilomètres au sud de ...
    ... Madrid. L’ambiance familiale était plutôt morose. Mon père travaillait en trois huit, ma mère faisait des ménages, mes deux frères aînés n’habitaient plus la maison. L’un s’était établi à Barcelone et l’autre, militaire, passait la plupart de ses missions à l’étranger. La maison d’à côté était habitée par un couple d’une trentaine d’années. Ils avaient 2 enfants encore jeunes. La femme travaillait durant la journée et le mari, paraplégique à la suite d’un accident de travail, essayait d’assurer l’intendance. Je leur prêtais volontiers mon aide. Les enfants m’adoraient, les parents étaient amis des miens et puis cela m’occupait. Cependant, ma relation avec l’homme avait pris un tour particulier. Il devait s’ennuyer autant que moi, il souffrait de ne pouvoir sortir facilement et du manque de rencontre. Ma visite le mettait toujours en joie. J’avais remarqué que lorsque les enfants étaient à l’école, nos discussions devenaient plus intimes. Il me livrait ses états d’âme, me demandait mon avis sur des questions auxquelles je n’étais pas habituée à répondre. J’aimais ces moments-là, je me sentais grandie, prise en considération. J’essayais de venir plus souvent pendant l’absence des enfants et nous en étions arrivés à des jeux qui me dépassaient. Cela avait commencé de façon anodine, par des discussions de plus en plus intimes, puis traitant franchement de la sexualité. Nous en étions arrivés à parler librement de nos fantasmes. Le fait qu’il soit handicapé le rendait inoffensif à ...