1. Mise en scène


    Datte: 30/04/2019, Catégories: fh, hplusag, voisins, telnet, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fouetfesse, ecriv_f,

    ... mes yeux, mais c’était malgré tout un bel homme. Je me sentais valorisée, moi, encore adolescente, par ces sujets sur lesquels je pouvais m’exprimer comme si j’y étais confrontée directement. Il ne m’a jamais vraiment touchée, mais nous obtenions tous les deux du plaisir. Je me souviens de la demi-pénombre de son garage. Je me tenais debout près de son fauteuil roulant, il relevait ma jupe, il baissait ma culotte et nous inventions des scènes, des situations virtuelles où je subissais toutes sortes de choses. Ce n’était jamais lui le héros, mais il indiquait les perversions auxquelles ces êtres imaginaires se livraient. C’était toujours des êtres autoritaires ou représentant l’autorité. Je réagissais virtuellement à ces situations, avec ma candeur et mon désir d’être à la hauteur. C’est avec lui que j’ai découvert mon goût pour la soumission. Je frissonnais de vivre demi-nue, près de lui, nos rêves éveillés. Il lui arrivait de dévoiler son sexe érigé au cours de nos jeux. Jamais il ne m’a demandé de le toucher, pourtant s’il l’avait fait, j’aurais probablement accepté. Ses caresses n’allaient pas plus loin qu’un long frôlement sur l’intérieur de mes cuisses, tout près de mon sexe tellement humide, que j’avais naïvement peur de ruisseler sur ses doigts. Nos jeux érotiques ont duré une dizaine de mois. Un jour, l’un des enfants nous a surpris. J’étais assise sur les genoux de son père, ma tunique était ouverte jusqu’au nombril, mes seins totalement exhibés. Il n’a rien dit ...
    ... sur le moment, mais dans les jours qui ont suivi, il est allé raconter au voisinage que je donnais le sein à son père. Dès lors, mes parents m’ont interdit d’y retourner et ont interrompu toute relation avec eux. Quelques mois plus tard, nous déménagions au nord du pays, puis, rapidement, mon père devait trouver un travail en France où nous avons émigré quelques années après.-- — « Bonsoir, Victoria. »— « Bonsoir, Luis ! »— « Ainsi vous m’avez reconnu ! »— « Monsieur Roger m’y a aidé malgré lui. Vous parlez français maintenant ? »— « J’ai eu le temps d’apprendre, depuis notre dernière rencontre. »— « Comment m’avez-vous retrouvée ? »— « Je n’ai jamais cessé de vous chercher depuis que vous avez quitté le quartier. »— « Ca fait 10 ans ! »— « Je n’ai jamais cessé de penser à vous. J’espérais vous retrouver et voir si vous assumiez les fantasmes que nous avions mis en scène il y a tant d’années. »— « J’étais donc si importante pour vous ? Votre famille ne compte pas ? »— « J’ai divorcé depuis plus de 8 ans, ma femme n’a jamais accepté la couleur trouble de l’eau dans laquelle nous avons trempé, vous et moi. »— « Mais depuis 8 ans, vous auriez du refaire votre vie ! »— « Avec mon handicap, vous croyez que c’est facile ? La vérité c’est que j’ai toujours été persuadée qu’il n’y avait que vous pour me permettre de vivre une sexualité satisfaisante. »— « Alors pourquoi avoir attendu si longtemps pour me contacter ? Et pourquoi l’avoir fait de manière détournée ? »— « Il m’a fallu ...