Epilogue II : La jouissance du mal
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Epilogue II (suite et fin) Diego me fait précéder dans l'arrière de la camionette, et à peine ai-je fait un pas qu'il m'éjecte sur le sol d'un coup de pied au cul. J'en suis resté muet de surprise. Il ne leur a pas fallu deux secondes pour fermer les portières et se positionner chacun d'un côté. Cette fois, j'étais cuit. Je ne savais plus à quoi m'attendre, c'est effrayant cette sensation de ne pas avoir le choix, de se sentir obligé de poursuivre un acte qui ne nous convient pas! D'habitude c'est mon rôle de choisir mes victimes, même dans les cas où le mec commençait à me chauffer sec, j'avais toujours eu la possibilité de me désister au dernier moment si l'envie me prenait. Mais là encore, j'ai joué le fier chien galeux, et me suis retrouvé dans une situation embarassante : tomber sur plus fort que soi. Et on ne rigole pas avec les gens du voyage, ils étaient prêts à me montrer comment ils passaient le temps. Diego s'accroupit à ma hauteur et me défia du regard, essayant de deviner ce que je pouvais bien penser et comment j'allais réagir à une telle altercation. Mais je n'en fis rien. Je ne sais pourquoi, je restais là, comme un pantin, à attendre mon sort. Il se réjouit : "-C'est bien 'ti gars, t'es un bon toi. T'aimes ça hein la bite? Tu veux qu'on t'mont' ces quoi des vrais mecs?" demante-t-il comme si ma réponse allait y changer quelque chose. Son ton se voulait plus attendrissant, mais comme le loup dans le petit ...
... chaperon rouge, je devinais que c'était "pour mieux te soumettre mon enfant". Pour mieux me limer, me baiser, me défoncer, ... et j'en passe. Ne lui ayant donné aucune réponse, il m'arrache le futal vers les pieds, mon calebar avec. Mon sexe enfin libéré de ce jean se retrouve maintenant irrité par la sciure et la poussière, surtout que je bande comme un âne et que le froid du parquet me donne des sensations inssuportables. Diego lance un regard salace à son cousin après avoir découvert mes fesses bien rebondies. Il les tâte d'une main, les malaxe, les gifle l'une après l'autre jusqu'à les faire rosir. Ca l'excite de m'humilier. "- Eh dis, c'est qu't'es vraiment bonne toi. -A vrai dire j'préférerais que tu me considères comme un mec, donc j'suis pas b....." Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase qu'il m'écrase la face contre le sol, deux de ses gros doigts velus s'insinuent dans ma bouche avec une forte odeur de sexe. "-J't'ai dit quoi t'à'l'heure? Tu l'ouv' que pour sucer grosse chienne", et il accompagne ses mots crûs d'une claque retentissante sur mon cul avant de me mettre sur le dos. Mon cul rougit prend du repos contre la fraîcheur du sol. Mais ce n'est pas maintenant que j'aurais le temps de respirer puisque Jason, que je n'avais plus en ligne de mir depuis l'arrivée dans le fourgon, s'assoit sur mon torse et fait glisser son gland à la comissure de mes lèvres. Il s'insère en moi avec plus de facilité que je ne le pensais vu la position. Je lui suce machinalement ...