Epilogue II : La jouissance du mal
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... jamais repu et encore pleine de bave et de liquide-séminale. Ma tête se trouve à une dizaine de centimètres du bord, ainsi il ne pourra rentrer que la moitié, et tant mieux : je n'ai plus aucune force, je suis à bout, je ne sais plus dans quoi je me suis embarqué. Tellement ces hommes m'ont utilisé que je ne savais plus penser par moi-même, j'en oubliais que nous étions dans un camtar garé devant chez moi, que mon chien attendait toujours dehors et qu... -Aiiiiiie putain de putain de... AAAAAH, criais-je à l'entrée violente de Diego dans mon cul. Une douleur s'arracha de moi comme si mon corps s'ouvrait en deux. Cette sensation, nous l'avons tous connu au moins une fois. Mon ventre accueillit avec stupeur le sexe épais (voir extrêmement large en terme de douleur) qui me déchirait de toutes parts. Mes jambes continuaient de faiblir alors il les souleva et continua de me démonter sans capote ni lubrifiant, m'arrachant des cris de douleurs qui n'en finirent plus malgré le zob de Jason qui essayait de m'éttouffer. Les deux accélèrerent simultanément le mouvement en me démontant comme une poupée gonflable, mon corps valdinguait comme une vulgaire marionette, ma tête se fracassait contre le grillage qui séparait les deux parties de la camionette. La souffrance m'obligeait à serrer les fesses sous les à-coups fulgurants de Diego. Il me sautait sauvagement, des grognements sortaient de sa bouche édenté, il me ravageait l'anus, me le dilatait comme une pauvre chatte mouillé. Sauf ...
... qu'il m'enculait à sec, et que malgré les quelques crachats et les restes de salive sur son sexe de 18 centimètres sur 6, cela faisait drôlement mal, comme si ma peau s'accrochait à son sexe et qu'elle allait partir en même temps que lui lorsqu'il voudrait s'en dégager. Des larmes coulaient sur mes joues, je ne pouvais plus supporter cette rage bestiale et démentiellement fracassante pour mon petit cul vierge. Quand soudain, il arrêta sa charge de mule pour sortir de mon cul, dans un élan difficile et rugueux, il s'approcha de ma tête également, repousse l'anaconda de son cousin qui y avait élu domicile et glissa le bout de son gland dans ma bouche. Ses yeux convulsaient, il devenait fou à lier, fou de sexe, fou de plaisir et fou de rage. De la bave s'accumulaient dans la comissure de ses lèvres tellement il m'avait asséné des coups avec hargne et sans reprendre son souffle. Il m'attrapa la tête de ses deux mains et m'enfonça du plus profond qu'il pût son sexe dans la gorge jusqu'à ce que je sente chaques goutelettes de son sperme épais et juteux couler sur les parois et se jeter au fin fond de mon être. Son corps tremblait, il gémissait et hénissait tel un cheval épuisé, avant de se retirer complètement. J'ai eu le droit à ces quelques secondes de répit avant que Jason n'en remette une couche en me malaxant l'anus, cette fois avec plus de délicatesse et de soin que son compère: il prit la peine de me masser l'orifice de ses doigts salivés, de me mettre ses doigts un à un avec ...